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|  Posté le 17-04-2006 à 23:51:25    
| Les films qui sortent en salle ce mercredi 19 avril
"OSS 117 Le Caire nid d'espions"
De Michel Hazanavicius (France-1h39). Avec Jean Dujardin, Bérénice Béjo, Philippe Lefèbvre, Aure Atika.
Égypte, 1955, le Caire est un véritable nid d'espions. Tout le monde se méfie de tout le monde, tout le monde complote contre tout le monde : Anglais, Français, Soviétiques, la famille du roi déchu Farouk qui veut retrouver son trône, les Aigles de Kheops, secte religieuse qui veut prendre le pouvoir. Le président de la République française, René Coty, envoie son arme maîtresse mettre de l'ordre dans cette pétaudière au bord du chaos : Hubert Bonisseur de la Bath (Jean Dujardin), dit OSS 117.
"Zulu love letter"
De Ramadan Suleman (Afrique du Sud-France-Allemagne /1h45). Avec Pamela Nomvete, Mpumi Malatsi, Sophie Mgcina.
A Johannesburg, deux ans après les premières élections démocratiques, Thandeka (Pamela Nomvete), une journaliste noire, vit dans la hantise du passé de son pays, au point de ne plus parvenir à travailler et d'aller d'échec en échec dans ses relations avec Mangi, sa fille sourde et muette. Jusqu'au jour où une vieille femme, Me'Tau, se présente au journal. Dix ans plus tôt, Thandeka a été témoin de l'assassinat de sa fille, Dinéo, par une équipe de la police secrète. Me'Tau veut que Thandeka l'aide à retrouver les coupables et à leur faire avouer où le corps fut enseveli, afin que les restes de Dinéo puissent être enterrés conformément à la tradition. Ce que les deux femmes ignorent, c'est que les trois assassins rôdent autour d'elles.
"Cinéma, aspirines et vautours" ("Cinema, aspirinas" )
De Marcelo Gomes (Brésil-1h39) avec Peter Ketnath, Joao Miguel, Fabiana Pirro, Hermylla Guedes.
1942. Au fin fond de l'aride Nordeste brésilien, deux hommes voient leurs chemins se croiser : Johann, un jeune Allemand qui fuit la guerre, et Ranulpho, un Brésilien qui cherche à échapper à la sécheresse oppressante de sa province. Roulant de village en village, ils projettent un film publicitaire pour vendre un médicament "miracle" aux habitants qui découvrent ainsi la magie du cinéma. Leur voyage se poursuit sur les routes poussiéreuses de l'arrière-pays archaïque en quête de nouveaux horizons.
"V pour Vendetta"
De James McTeigue (Etats-Unis/Allemagne-1h52). Avec Natalie Portman, Hugo Weaving, Stephen Rea, John Hurt, Stephen Fry.
Basé sur un scénario des frères Wachowski (les créateurs de la trilogie "Matrix"), ce film de science-fiction plonge le spectateur dans un univers proche de celui du roman "1984" de George Orwell.
La Grande-Bretagne est dirigée d'une main de fer par une dictature aux relents nazis qui extermine étrangers, opposants politiques et homosexuels. Rien ne semble pouvoir s'opposer au pouvoir en place jusqu'au jour où un mystérieux "terroriste" se faisant appeler "V" (Hugo Weaving) et arborant toujours un masque blanc lance des attaques ciblées contre les symboles de l'oppression. Avec un charisme désarmant, une maîtrise parfaite des arts martiaux et d'habiles manoeuvres de diversion, V réussit à inciter ses concitoyens jusqu'ici passifs à se révolter contre l'Etat omnipotent. Dans sa quête du Bien contre le Mal, V rencontre Evey Hammond (Natalie Portman), une séduisante jeune femme qui va se retrouver mêlée malgré elle à la révolution en cours et ainsi découvrir sa véritable personnalité.
"De particulier à particulier"
De Brice Cauvin (France-1h35). Avec Hélène Fillières, Laurent Lucas, Anouk Aimée, Julie Gayet.
Philippe (Laurent Lucas) et Marion (Hélène Fillières), la trentaine, doivent partir pour Venise mais au dernier moment n'en ont plus envie. Ils décident cependant de dire autour d'eux qu'ils y sont allés, comme un jeu. Jusqu'à ce que quelques semaines plus tard, Marion puis Philippe, reçoivent, chacun de leur côté, des photos de voyage, à Venise bien sûr. La réalité prend alors une tournure un peu floue, tout comme leur histoire d'amour, leur vie de famille et leur occupation professionnelle.
"Les enfants du pays"
De Pierre Javaux (France-1h27). Avec Michel Serrault, Arthuer Chazal, Emma Javaux.
France, mai 1940. Dans un petit village à la frontière belge, derrière l'immense forêt des Ardennes. Contrairement aux autres habitants qui ont fui dans la crainte d'une invasion allemande, Gustave (Michel Serrault) a décidé de rester avec ses deux petits enfants, Camille, une jeune adolescente, et Etienne, un petit garçon. Un beau matin débarque un groupe de tirailleurs sénégalais qui se sont perdus. Gustave réagit avec méfiance face à l'irruption de "colonisés" possiblemement dangereux sans leur chef blanc, mais ses petits-enfants ne résisteront pas longtemps aux sentiments humains et à la fantaisie des intrus.
"Horribilis" (Slither)
De James Gunn (Etats-Unis/1h36). Avec Nathan Fillion, Elizabeth Banks, Michael Booker.
L'homme d'affaires Grant Grant est un des citoyens les plus fortunés de la paisible bourgade de Wheelsy, mais son luxueux train de vie et son opulente résidence ne suffisent pas à compenser l'indifférence croissante de sa jeune et belle épouse, Starla, qu'il aime d'un amour sans retour. A part cela, tout baigne pour lui, ou plutôt tout baignait avant une certaine balade nocturne: au cours d'une virée dans les bois, Grant et sa consolatrice d'un soir, Brenda, découvrent une masse gélatineuse d'origine extraterrestre à proximité d'un cratère creusé de fraîche date. Soudain, un puissant tentacule jaillit de la masse informe, enserrant Grant avant de lui inoculer un germe mortel. Starla constate bientôt chez son mari les symptômes d'une insidieuse et troublante métamorphose.
"The secret life of words"
D'Isabel Coixet (Espagne-Etats-Unis/1h52). Avec Sarah Polley, Tim Robbins, Javier Câmara, Julie Christie, Eddie Marsan.
Un lieu isolé au milieu de la mer. Une plateforme pétrolière où ne vivent que des hommes, ceux qui y travaillent, et où vient d'avoir lieu un accident. Une femme mystérieuse et solitaire, essayant d'oublier son passé, débarque sur la plateforme pour soigner un homme qui a temporairement perdu la vue. Entre eux se crée une étrange intimité, un lien fait de secrets, tissé de vérités, de mensonges, d'humour et de souffrance, qui ne les laissera pas indemnes et changera leur vie.
"Allegro"
De Christopher Boe (Danemark-1h28). Avec Ulrich Thomsen, Helena Christensen.
Zetterstrom (Ulrich Thomsen), un pianiste célèbre, revient à Copenhague, sa ville natale, à l'occasion d'un concert de gala. Il a oublié sa vie passée dans la capitale danoise, ses souvenirs étant enfermés dans une mystérieuse "Zone", une partie de la ville fermée aux habitants qui a connu il y a quelques années une perturbation surnaturelle.
"Un ano sin amor"
D'Anahi Berneri (Argentine-1h35). Avec Juan Minujin, Mimi Ardu, Javier Van Der Couter.
Pablo (Juan Minujin) est un jeune poète, mais aucun éditeur n'a encore accepté de le publier. Pour subvenir à ses besoins, il doit demander le soutien de sa famille. En quête d'amour, il se met à fréquenter un cercle "d'amateurs de cuir", adeptes du sado-masochisme. La sexualité devient bientôt un moyen d'affirmer son individualité. Un an plus tard, Pablo a écrit des pages et des pages sur ses aventures sexuelles et sur le traitement qu'il suit pour combattre sa séropositivité.
"Waiting for the clouds" (Bulutlari Beklerken)
De Yesim Ustaoglu (France-Turquie/1h27). Avec Rüchan Caliskur, Ridvan Yagci.
1975, Turquie. Les employés du bureau de recensement arrivent dans la ville portuaire de Tirebolu. Cette irruption n'est pas sans créer quelque anxiété. Les questions sur le passé ne sont pas toujours anodines. Des plaies qui semblaient refermées sont encore à vif. C'est le cas pour Ayshe. Pendant 50 ans, cette femme est restée muette à propos de sa véritable identité. En fait, elle est la fille d'une des familles grecques de la région de la Mer Noire évacuées en 1916. Son véritable prénom était Eleni. Après la mort de sa mère et de sa soeur, elle a bravé toutes les tempêtes pour sauver sa vie et celle de son frère Niko. Exténuée, sans son frère qu'elle est contrainte d'abandonner en route, elle a fini par arriver dans un village où elle a été recueillie par une famille turque. Là, elle trouve en Selma, la fille adolescente du couple, une véritable soeur.
"Un camion en réparation"
D'Arnaud Simon (France-43 min). Avec Pierre Moure, Antoine Régent, Edith Scob.
Eugène (Pierre Moure) a 20 ans. Il va mal et pourtant c'est l'été. A l'occasion d'un séjour en province, son regard se pose sur Pierre (Antoine Régent), la trentaine. Il décide de s'en faire aimer.
"L'étoile violette"
D'Axelle Ropert (France-45 min). Avec Lou Castel, Serge Bozon, Emmanuel Levaufre.
Un tailleur écoute une petite radio le jour, un petit professeur le soir. Le tailleur n'a pas grand-chose à dire. Normal, il attend le retour de Jean-Jacques Rousseau, le premier folk-singer français.
Et une réédition : "La charge fantastique" ("They died with their boots on" )
De Raoul Walsh (Etats-Unis) avec Errol Flynn, Olivia De Havilland (1941).
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| Posté le 18-04-2006 à 08:37:18
| Je ne connais pas tous ces nouveaux films, mais je compte aller voir au moins OSS 117 et V pour Vendetta. 
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Allo soeurette ? Es-tu habituée aux plans looses ? Ne me demandes pas pourquoi, mais je suis enfermé avec Wayne à clef chez moi. ThunderLord |
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| Posté le 18-04-2006 à 13:20:36
| Et s'il y a des amateurs de vieux films hollywoodiens, "La charge fantastique" peut être un bon moment à passer également. Enfin, si l'on aime ce genre de films, évidemment. 
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| Posté le 18-04-2006 à 15:40:26
| Je verrai tout cela en retournant à Rouen. Je suis pour quelques jours chez mes parents, avec un cinéma de deux salles, ce qui ne me laisse pas énormement de choix. 
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| | Audrey | | Laissez vivre les mots | | Administrateur | | | | 12339 messages postés |
| Posté le 18-04-2006 à 16:51:16
|  L'éternel problème des petites villes, donc petits cinémas...
Chez moi, certains films ne sont jamais diffusés. Comme par exemple "Et si c'était vrai" que j'aurais aimé voir.
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| Posté le 18-04-2006 à 19:44:50
| Film qui était très bien, une bonne adaptation selon ce dont je me souviens du livre. J'ai commencé à le lire, je l'ai prêté entre temps, pour une courte durée mais on ne me l'a rendu que très tard, et n'ayant pas pu relire le début, la lecture globale n'a pas été des meilleures. 
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| Posté le 18-04-2006 à 20:02:11
| D'après ce que l'on m'en a dit, effectivement, l'adaptation n'était pas mauvaise.
Raison de plus pour que j'ai envie de voir le film ! 
Quant au livre, comme tous ceux de Marc Lévy, c'est un vrai régal. Mais je préfère néanmoins "Et si c'était vrai" à ses autres romans.
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| | ThunderLord | | Assassin au chômage technique | | Co-Administrateur |  |  | | 4623 messages postés |
| Posté le 23-04-2006 à 16:32:17
| Audrey a écrit :
Et s'il y a des amateurs de vieux films hollywoodiens, "La charge fantastique" peut être un bon moment à passer également. Enfin, si l'on aime ce genre de films, évidemment. |
Ha ? Quel est le sujet du film ? L'as-tu vu ?
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ThunderLord ---> Thérapie Hautement Utopique et Normalisée de Démultiplication des Etats Reconnus de Léthargie Ombrageuse Reliée à la Démonologie. ©Audrey |
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| Posté le 23-04-2006 à 16:48:28
| Aaaaah mais c'est l'histoire de la défaite américaine de Little Big Horn ! Suffisait de le dire 
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| Posté le 24-04-2006 à 13:33:36
| Je suis allée voir OSS 117 ainsi que V pour Vendetta .
OSS 117 est une bonne comédie, avec de très bons moments, agréable dans son ensemble, mais ne deviendra pas, d'après moi, une comédie culte. N'ayant pas lu les romans, je ne peux pas dire si c'est une bonne adaptation.
V pour Vendetta est un très bon film, l'histoire, l'ambiance et les acteurs m'ont plu. Là encore, n'ayant pas lu la BD, je ne peux pas dire si c'est une bonne adaptation, mais le film m'ayant réellement plu, je pense la lire le plus rapidement possible, affaire à suivre...
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