Contrairement à l'idée reçue, cette expression n'a rien à voir avec le sexe du "prescripteur".
A l'origine, on disait "de bonne fame" (du latin fama , réputation), pour vanter la fiabilité de ses potions.
Puis, les progrès de la médecine ont jeté le discrédit sur les remèdes traditionnels, et l'expression a pris un sens péjoratif, se transformant sur le modèle des "histoires de bonne femme".