| Dernières réponses | |  (AFP - 29/06/06)
Elza Soares, une reine de la samba, à Paris les 2 et 3 juillet, puis à Lyon 
Elza Soares, une légende de la samba au Brésil, sera sur la scène parisienne du New Morning dimanche 2 et lundi 3 juillet avec son groupe.
Elle rejoindra ensuite, les 6, 7 et 8 juillet à LYON, une troupe de danse pour un spectacle intitulé "Brasil Brasileiro", un hommage à la samba où elle incarne son propre rôle.
Elza Soares, qui possède à 70 ans une énergie farouche, une vitalité extraordinaire et une voix encore puissante, interprètera à Paris en grande partie le répertoire de "Quebra la que eu quebro ca" (Mayanga/DG), un disque paru en 2004.
Elle donnera des versions plus acoustiques, nonobstant la présence de programmations électroniques et d'une chanson hip hop, d'un album détonant, vibrant hommage à la samba sous toutes ses formes (samba funk surtout, samba pop, samba hip hop, samba traditionnelle...) avec des petites incursions dans le choro et le jazz mais surtout la présence de plusieurs DJs.
Des musiciens très réputés ont participé à l'enregistrement de "Quebra la que eu quebro", presque exclusivement fait de reprises (Seu Jorge, Caetono Veloso/Gilberto Gil, Jorge Benjor...), comme le bassiste Carlinhos Brown, le flûtiste Carlos Malta ou le percussionniste Marcos Suzano.
Le chanteur, compositeur et écrivain Chico Buarque, icône de la musique brésilienne, lui a écrit spécialement une chanson dont le titre, "Dura na queda" (Dure à cuire), correspond parfaitement à Elza Soares.
Née dans une favella du nord de Rio, cette carioca qui habite maintenant à Copacabana a en effet été frappée par le sort dans les années 70, lorsque son visage et son crâne sont en partie brûlés dans un accident domestique. Ce coup du destin ne l'empêche pas de poursuivre encore activement sa carrière aujourd'hui.
"Vivo Felice" (Mayanga/DG), son dernier album paru l'an dernier, met encore plus l'accent sur l'électro et le hip hop que le précédent. |
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[/i] <br />[centre][g][#0000ff]Elza Soares, une reine de la samba, à Paris les 2 et 3 juillet, puis à Lyon[/#][/g] <br /> <br />[img]http://img421.imageshack.us/img421/6678/soares4vd.jpg[/img][/centre] <br />[g]Elza Soares, une légende de la samba au Brésil, sera sur la scène parisienne du [i]New Morning[/i] dimanche 2 et lundi 3 juillet avec son groupe.[/g] <br /> <br />[g]Elle rejoindra ensuite, les 6, 7 et 8 juillet à LYON,[/g] une troupe de danse pour un spectacle intitulé [i]"Brasil Brasileiro",[/i] un hommage à la samba où elle incarne son propre rôle. <br /> <br />Elza Soares, qui possède à 70 ans une énergie farouche, une vitalité extraordinaire et une voix encore puissante, interprètera à Paris en grande partie le répertoire de [i]"Quebra la que eu quebro ca"[/i] (Mayanga/DG), un disque paru en 2004. <br /> <br />Elle donnera des versions plus acoustiques, nonobstant la présence de programmations électroniques et d\'une chanson hip hop, d\'un album détonant, vibrant hommage à la samba sous toutes ses formes [i](samba funk surtout, samba pop, samba hip hop, samba traditionnelle...)[/i] avec des petites incursions dans le choro et le jazz mais surtout la présence de plusieurs DJs. <br /> <br />Des musiciens très réputés ont participé à l\'enregistrement de [i]"Quebra la que eu quebro",[/i] presque exclusivement fait de reprises (Seu Jorge, Caetono Veloso/Gilberto Gil, Jorge Benjor...), comme le bassiste Carlinhos Brown, le flûtiste Carlos Malta ou le percussionniste Marcos Suzano. <br /> <br />Le chanteur, compositeur et écrivain Chico Buarque, icône de la musique brésilienne, lui a écrit spécialement une chanson dont le titre, [i]"Dura na queda"[/i] (Dure à cuire), correspond parfaitement à Elza Soares. <br /> <br />Née dans une favella du nord de Rio, cette carioca qui habite maintenant à Copacabana a en effet été frappée par le sort dans les années 70, lorsque son visage et son crâne sont en partie brûlés dans un accident domestique. Ce coup du destin ne l\'empêche pas de poursuivre encore activement sa carrière aujourd\'hui. <br /> <br />[i][g]"Vivo Felice"[/g][/i] (Mayanga/DG), son dernier album paru l\'an dernier, met encore plus l\'accent sur l\'électro et le hip hop que le précédent.'); "Citer ce message")