Le Petit Monde d'Audrey
 
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Dernières réponses
Audrey
Voilà encore un passage assez peu connu remonté à la une de notre Forum.
Merci Monette !


Maelle, c'est à toi pour la suivante.


Message édité le 10-03-2007 à 16:30:10 par Audrey
monette
monette a écrit :

c'est court, concis et c'est la bonne réponse Maelle!!
Tout d'abord, Lysistrata est un personnage de comédie et, toute jeune que j'étais, je l'ai aimé : elle a su se faire entendre des hommes !

Aristophane est un auteur dramatique de la Grèce antique, dont les détails de la vie ne nous sont guère connus ; on pense qu'il est né vers 450 av. J.-C. et mort vers 386.
Il est sans doute né près d'Athènes et a reçu une excellente éducation, sans qu'on sache avec certitude de quelle famille il est issu ; en tout cas, il est considéré comme l'inventeur de la comédie, et reconnu comme l'un des plus grands comiques de la littérature de tous les temps.
Ses fils, Philippos, Araros et Nikostratos, ont d'ailleurs suivi son exemple, puisqu'ils sont tous trois devenus des auteurs comiques.
Sur le plan des idées, Aristophane est plutôt conservateur : fidèle à la tradition, il défend des valeurs comme la paix, la sagesse et la franchise plutôt que de se laisser convaincre par les idées nouvelles propagées par des philosophes qui se montrent sceptiques face à la morale telle qu'elle est acceptée alors. En politique, il n'hésite pas à attaquer la démocratie athénienne chaque fois que des erreurs sont commises.

l'histoire
Lysistrata


Si le célèbre "Faites l’amour, pas la guerre" est un plaidoyer pour la paix, il n'a sûrement pas le pouvoir de mettre un terme à une guerre, ni la force de convaincre des guerriers en campagne.
: "Pour arrêter la guerre, refusez-vous à vos maris."
Alors qu’Athènes et Sparte sont en guerre, Lysistrata, belle Athénienne, aussi rusée qu'audacieuse, convainc les femmes de toutes les cités grecques de déclencher et de poursuivre une grève totale du sexe, jusqu'à ce que les hommes reviennent à la raison et cessent le combat.
Les conflits de l’État aux détails les plus intimes de la vie quotidienne, résolvant une crise politique des plus graves par la comédie la plus licencieuse, et usant avec bonheur de tous les clichés de la guerre des sexes.
Et la plupart des traductions de ses comédies tentent d’atténuer ses inventions audacieuses, ses jeux de mots obscènes, les édulcorant,
les reléguant même parfois en notes de bas de page, voire ne les proposant que traduites en latin.
Maelle
Lysistrata, qui décida les femmes à la suivre dans une grève du sexe, histoire que les hommes arrêtent une guerre (fratricide ?)
Eisenheit
C'est sûr, c'est loin d'être bête.
Arielle
Eh eh, pas bête le sieur Ouaille !
Ouaille


Ohlala, une idee sans doute stupide me vient, m'enfin...

La Faim ?


Eisenheit
Je sais pas, j'ai eu cette idée, mais bon, je dois avouer que je ne sais pas trop où commencer à chercher.

Une "gréviste particulière"...
Arielle
Ca me paraît bizarre... que vient faire la Constitution ici ?:-)
Eisenheit
Ce n'est pas la Constitution...
Arielle
En voyant la troisième partie, je pense à l'armistice, mais je ne crois pas que ce soit aussi simple !
 
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