Ensuite, et avant de marcher sur la partie non portante de la planche A, elle bascule la planche B pour terminer ce "pont improvisé".
Dans de telles conditions, la personne n\'a aucun risque de basculer dans le vide.');"> La logique voudrait que la personne porte la planche B tant qu'elle est sur la partie portante de la planche A. Ensuite, et avant de marcher sur la partie non portante de la planche A, elle bascule la planche B pour terminer ce "pont improvisé".
Dans de telles conditions, la personne n'a aucun risque de basculer dans le vide.
Constance
Admettons. Mais si les 4m50 sont plus lourds que la personne, comment elle fait pour positionner précisément l'autre planche de 4m90 au dessus du vide sans se faire emporter ?
Audrey
C'est surtout le fait que la planche mesurant 4m90, si on enlève les 40 cm dans le vide, cela laisse tout de même 4m50 de portée.
Constance
Je suis pas tenté de vérifier Ça dépend quand même du poids de la personne et de celui de la planche, nan ?
Audrey
BINGO, Arielle !
C'est effectivement la manière la plus simple de traverser ce pont, compte tenu des éléments de l'énoncé.
Réponse complète :
Il suffit de poser sur le sol l’une des deux planches (appelons-la A), un bout débordant au-dessus du vide sur 40 centimètres. On montera alors sur cette extrémité en y posant la planche B tenue verticalement. Il n’y aura plus qu’à laisser tomber l’autre bout de cette planche B sur la partie opposée du pont.
Contrairement aux apparences, le bout de 40 centimètres de la planche A pourra supporter un poids considérable sans basculer grâce au principe des leviers.
Arielle
Ou alors on met une planche sur l'autre en faisant balançoire mais de manière à pouvoir marcher dessus
Ouaille
5m, hmmm... J'ignore les planches, je fais un saut en longueur et AHHHHH! (trop court! )
Bon plus serieusement on utilise une planche comme perche de propulsion?
Message édité le 17-08-2006 à 11:28:47 par Ouaille
Audrey
Cela aurait pu être la solution, effectivement... bien que nous ne connaissions pas la profondeur du vide, donc impossible de savoir si ces "échasses" auraient suffit.