| Dernières réponses | |  Très bonne question, Constance. 
Bah, je suppose que cette association s'est donnée la peine de consulter des spécialistes pour situer les lieux les plus appropriés à la conservation de ces tablettes... en tenant compte de l'évolution climatique dans le temps, ça va de soit.
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| | D'où la protection par la résine 
D'ailleurs je peux renvoyer la question : les lieux "secs et stables" le seront ils toujours dans 1000, 2000 ou 3000 ans ? 
Message édité le 18-05-2006 à 19:50:30 par Constance |
| | Quand on constate que l'on trouve encore de nos jours des tablettes d'argile ancestrales... en très bon état, je suppose que cela suffit à établir que le moyen de préservation de ces données est bien ce support.
Quant à l'acier inoxydable.... sera-t-il toujours aussi inoxydable dans 1000, 2000 ou 4000 ans ??? j'en doute...
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| | Bah elles ont pas l'air super solides leurs tablettes s'il faut en particulier que ce soit dans un endroit sec ... pour ma part j'aurais fait un truc genre en acier inoxydable placé dans un bloc de résine pour être sûr
Edit : des textes de ce genre  ... je doute un peu de l'intérêt, et franchement je ne vois pas trop pourquoi quelqu'un irait les falsifier, c'est pas comme s'ils traitaient d'histoire et de politique ...
Message édité le 18-05-2006 à 19:47:46 par Constance |
| | Bon, là, tu touches au but, Kaedes. 
Je vous donne donc l'explication complète :
Il s’agit de créer une bibliothèque, un réservoir de données pour les hommes du futur. Nous devons cette idée originale au sociologue français Alain Houel.
On sait que les supports de l’information sont pratiquement tous condamnés à disparaître, dans les décennies ou les siècles à venir. Dans la procédure normale, les documents (appartenant à notre temps ou au passé) qu’on estimera dignes d’être conservés, seront reproduits, réenregistrés à l’infini, avec les pertes, les erreurs que cela sous-entend, mais surtout les inévitables omissions involontaires, voire délibérées. Les sociétés modernes, comme les primitives, ont une fâcheuse tendance à falsifier l’information.
Une base de données se constitue donc parallèlement, pour contrecarrer les futures manipulations de l’information. L’opération, qui est contrôlée par l’association "Mémoire des Temps Futurs", en est à ses débuts.
Des textes de plusieurs auteurs contemporains ont déjà été gravés sur des plaquettes de terre cuite, seul médium qui survive aux millénaires. Sont actuellement en gravure des textes d’Édgar Morin, François Rabelais et Jacques Prévert.
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| | pareil, j'aurais dit archéologie du futur.... deux langues pour permettre aux générations futures de pouvoir en découvrir une des deux suivants ce qui aura subsisté plus tard ?
sur des tablettes, car ça dure bien à travers le temps ? |
| | Non, désolée, Chaddy.
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| | En rapport avec l'histoire ?
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| | Je vais te donner une réponse de normand : "oui et non".
A savoir que ce n'est pas spécifiquement ici les langues qui sont visées en premier lieu... (même si, effectivement, deux langues différentes sont utilisées sur ces tablettes).
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| | Euh ben en rapport avec les langues vivantes
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