| Dernières réponses | |  Je suis un génie \o/ |
| | Dans "Le Matin des Magiciens", Louis Pauwels parle de ce phénomène, que les Américains, Australiens ou Anglais ont appelé "le culte du cargo."
En Nouvelle-Guinée, qui est encore aujourd'hui l'endroit le moins exploré de la planète, les indigènes parlaient dans des boites de conserve reliées à des ficelles pour faire venir (par radio) l'avion cargo chargé des parachutages.
Pauwels y fait précisément la même réflexion que TL : il utilise cet exemple pour se demander si la Bible n'a pas gardé la trace du passage de visiteurs extra-terrestres d'une technologie très avancée.  |
| | Et le plus gênant au niveau philosophique, c'est que si ces indigènes avaient compilé les dires de ces étranges "dieux" en un livre sacré, celui-ci aurait sans doute beaucoup ressemblé à "nos" livres sacrés : Bible, Torah etc.
Je pense quand même que, lorsque l'on intervient de cette manière sur la vie d'un peuple coupé du monde, d'une manière qui a forcément un impact tel que celui-ci ne l'oubliera pas de sitôt, on a le devoir de continuer à offrir ses "bienfaits divins" au peuple en question tout en lui permettant de conserver sa propre culture. Ici, c'est peut-être une ou plusieurs religions, auparavant observée(s) avec ferveur et inconnue(s) de nous, qui ont disparu à jamais ! |
| | Très inquiétant, en effet, de constater l'effet néfaste produit sur un peuple jusqu'à alors à l'abri. 
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| | | c'est à la fois beau et angoissant |
| | | Seconde Guerre Mondiale & la Naissance d'un CULTE
ou Comment un peuple primitif réagit au premier contact avec la technologie moderne
Pendant la 2ème Guerre Mondiale, des soldats américains furent envoyés sur certaines îles perdues du Pacifique pour y construire des terrains d'aviation et des installations militaires.
A la fin de la guerre, ils rentrèrent chez eux et il se passa quelque chose de fort étrange.
Les indigènes de ces îles, isolés du monde extérieur, vivaient pratiquement à l'âge de pierre, jusqu'à ce que les américains viennent et repartent.
Peu de temps après leur départ, les indigènes se mirent à fabriquer des fétiches de paille et de bambou qui ressemblaient à des avions et de très rudimentaires terrains d'atterrissage dans l'espoir de faire revenir les visiteurs.
Les étrangers venus du ciel avaient apporté des trésors fabuleux : des outils, des armes fantastiques, des machines volantes telles qu'ils n'en avaient jamais rêvé.
Qui d'autre que des dieux pouvaient avoir cette connaissance suprême ?! Ils ne chassaient pas, ils ne pêchaient pas, et pourtant ils ne manquaient jamais de nourriture. Ils étaient venus du ciel, ils étaient donc des dieux et il fallait les faire revenir.
Les indigènes firent d'ardents sacrifices. Ils scrutaient le ciel jour et nuit montant une garde pleine d'espoir.
C'est ainsi que naquit un culte nouveau de la rencontre d'un peuple primitif et de visiteurs venus d'une société hautement développée et techniquement supérieure.
(Source : http://anicet.lecorre.free.fr) |
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