| Dernières réponses | |  J'ai déjà lu cette légende, elle a été retranscrite sous forme romancée, je l'ai possédée lorsque j'avais dans les 15 ans. Et effectivement, il n'est pas rare que l'un ou l'autre pêcheur ou plongeur, ramenant une pièce ou un ustensile d'époque, jure avoir découvert le trésor de la Buse ! Certains vont même jusqu'à le situer sur les côtes d'Australie !
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| | Olivier LE VASSEUR
alias "LA BUZE" ou "LA BOUCHE" (surnommé ainsi en raison de sa rapidité à fondre sur sa proie)
PIRATE français du XVIIIe siècle  
Né à Calais à la fin du XVIIe siècle, le redouté pirate français Olivier Le Vasseur dit "La Buze" ou "La Bouche" ou encore "La Bous" s'associa très souvent à d'autres pirates afin d'attaquer les navires marchands plus facilement.
Il a débuté en 1716 en compagnie de Benjamin Hornigold puis de Samuel Bellamy. On le retrouve en 1717 au cotés de l'Anglais Hywel Davies aux îles vierges. En 1718, ils croisent aux larges des côtes africaines où ils rencontrent Thomas Cocklyn.
Ensembles ils continuent leurs progressions et leurs actes de pirateries jusque en mer rouge... Après avoir un temps élu domicile à Mayotte, ils fondent leur camp de base à Sainte Marie.
Pendant ce temps, le capitaine du vaisseau "Cassandra" , John Taylor a besoin d'un quelqu'un aux commandes de son de deuxième navire "Victoria". Il enrôle Olivier Le Vasseur.
En avril 1721, à Réunion Island dans l'océan indien, ils attaquent et capturent le navire portugais "Nostra Senhora de Cabo" (la Vierge du Cap) qui revient de Goa (Colonie portugaise en Inde).
Le butin est phénoménal, plus de 500000 £ de diamants et 375000 £ en trésors d'orients divers... Ils brûlent le vieux navire pirate et rebaptisent "Nostra Senhora de Cabo" en "Victoria".
John Taylor laisse alors le "Victoria" à la Buze et part à Panama où il sera réhabilité. Olivier Le Vasseur quant à lui, retourne à Madagascar, ou peut-être à Réunion Island...
A cette époque, les dirigeants des Pays Européens, dont le Roi de France, érigent une charte de Clémence pour lutter contre la piraterie. La Buze tente d'en profiter en rendant une partie de son trésor, mais il refuse de donner le "Victoria" et le butin.
En 1729, il est un paisible pirate retraité, il exerce le métier de pilote dans la baie d'Antongil (Madagascar). Il aide un bateau de la Compagnie des Indes à entrer au port, "La méduse" , de la Compagnie des Indes, commandée par le Capitaine d'Hermitte...
Celui-çi le reconnait et l'arrête.
Condamné à mort le 7 juillet 1730 à 17h, La Buze monte sur l'echaffaud.
Il lance alors à la foule un parchemin crypté en criant "Mes trésors à qui saura comprendre".
Voici donc La Buse pendu, le cryptogramme lancé dans la foule, et le trésor caché offert aux plus malins.
Qui ramassa le message secret ?
Nul ne saurait le dire, mais depuis plus de deux siècles, l'océan Indien, des îles Seychelles à la pointe de Madagascar, est le centre de recherches incessantes et foisonne de documents à clés, de rébus et de signes gravés qui tous, selon la tradition, se rapportent aux prodigieux trésors de La Buse. |
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![](javascript:citer('Audrey', '[centre][g][#0000ff]Olivier LE VASSEUR <br />alias "LA BUZE" ou "LA BOUCHE" [i](surnommé ainsi en raison de sa rapidité à fondre sur sa proie)[/i] <br />PIRATE français du XVIIIe siècle[/#][/g] <br /> <br />[img]http://img108.imageshack.us/img108/6082/labuse7is.jpg[/img] <br />[img]http://img108.imageshack.us/img108/3955/pirates2iu.gif[/img][/centre] <br /> <br />[g]Né à Calais à la fin du XVIIe siècle, le redouté pirate français Olivier Le Vasseur dit [i]"La Buze"[/i] ou [i]"La Bouche"[/i] ou encore [i]"La Bous"[/i] s\'associa très souvent à d\'autres pirates afin d\'attaquer les navires marchands plus facilement.[/g] <br /> <br />Il a débuté en 1716 en compagnie de Benjamin Hornigold puis de Samuel Bellamy. On le retrouve en 1717 au cotés de l\'Anglais Hywel Davies aux îles vierges. En 1718, ils croisent aux larges des côtes africaines où ils rencontrent Thomas Cocklyn. <br />[g]Ensembles ils continuent leurs progressions et leurs actes de pirateries jusque en mer rouge... Après avoir un temps élu domicile à Mayotte, ils fondent leur camp de base à Sainte Marie.[/g] <br /> <br />Pendant ce temps, le capitaine du vaisseau [i]"Cassandra"[/i], John Taylor a besoin d\'un quelqu\'un aux commandes de son de deuxième navire [i]"Victoria".[/i] Il enrôle Olivier Le Vasseur. <br /> <br />[g]En avril 1721, à Réunion Island dans l\'océan indien, ils attaquent et capturent le navire portugais [i]"Nostra Senhora de Cabo"[/i] (la Vierge du Cap) qui revient de Goa (Colonie portugaise en Inde). <br />Le butin est phénoménal, plus de 500000 £ de diamants et 375000 £ en trésors d\'orients divers... Ils brûlent le vieux navire pirate et rebaptisent [i]"Nostra Senhora de Cabo"[/i] en [i]"Victoria".[/i][/g] <br />John Taylor laisse alors le [i]"Victoria"[/i] à la Buze et part à Panama où il sera réhabilité. Olivier Le Vasseur quant à lui, retourne à Madagascar, ou peut-être à Réunion Island... <br /> <br />[g]A cette époque, les dirigeants des Pays Européens, dont le Roi de France, érigent une charte de Clémence pour lutter contre la piraterie. La Buze tente d\'en profiter en rendant une partie de son trésor, mais il refuse de donner le [i]"Victoria"[/i] et le butin.[/g] <br /> <br />En 1729, il est un paisible pirate retraité, il exerce le métier de pilote dans la baie d\'Antongil (Madagascar). Il aide un bateau de la Compagnie des Indes à entrer au port, [i]"La méduse"[/i], de la Compagnie des Indes, commandée par le Capitaine d\'Hermitte... <br /> <br />[g]Celui-çi le reconnait et l\'arrête. <br />Condamné à mort le 7 juillet 1730 à 17h, La Buze monte sur l\'echaffaud. <br />Il lance alors à la foule un parchemin crypté en criant [i]"Mes trésors à qui saura comprendre".[/i][/g] <br /> <br />Voici donc La Buse pendu, le cryptogramme lancé dans la foule, et le trésor caché offert aux plus malins. <br />Qui ramassa le message secret ? <br />Nul ne saurait le dire, mais depuis plus de deux siècles, l\'océan Indien, des îles Seychelles à la pointe de Madagascar, est le centre de recherches incessantes et foisonne de documents à clés, de rébus et de signes gravés qui tous, selon la tradition, se rapportent aux prodigieux trésors de La Buse.'); "Citer ce message")