| Dans ce sens, effectivement. Cependant, la citation étant complétée par "et que la littérature n'est pas lue" , j'ai penché ma reflexion sur la compréhension du sens global, et non du texte brut, selon les fautes d'orthographes. Le journalisme apparaît illisible, dans le sens où il est incompréhensible. Comme la littérature, le journalisme apparaît inaccessible. Mais ce n'est que ma reflexion. |
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| Là où je suis d'accord avec Oscar Wilde, au sujet du terme "illisible" : c'est au regard des articles (journaux ou magazine) qui sont de nos jours souvent truffés de fautes de français. Autrefois, chaque rédaction avait un "relecteur", personne dont l'unique travail (mais quel travail !) était de relire un à un tous les articles avant leur édition, afin d'en corriger toutes les fautes d'orthographe ou grammaticales, sans oublier celles de ponctuation. Rien ne partait à l'édition sans être au préalable passé entre ses mains . Ce poste de "relecteur" a disparu depuis belle lurette de toutes les rédactions...malheureusement ! Car à se fier uniquement aux "correcteurs-logiciels", qui sont très loin d'être infaillibles.... on se retrouve avec des fautes de français parfois énormes. Combien il est choquant de lire certains articles intéressants, certes, mais dans lesquels des pluriels oubliés, une "orthographe approximative" fichent tout par terre ! Vu dans ce sens-là, je trouve qu'Oscar Wilde n'a pas totalement tort....et encore moins de nos jours !
Message édité le 16-09-2006 à 04:50:17 par Audrey |
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