Le Petit Monde d'Audrey
 
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Eisenheit
Hum, j'aimerai vraiment voir Si j'étais toi...


Edité le 24-10-2007 à 11:11:28 par Eisenheit


ThunderLord
Héhé, avec un titre pareil, je crois qu'ils n'ont pas fini de se voir reprendre... "This is spartland" ? xD
Simulacre
"This is England", vu hier soir.
Agréablement surprise, l'enfant joue très bien.
Audrey
Bien vu ! Merci d'avoir remarqué
C'est corrigé, M'sieur.
ThunderLord
Heuuu... Il n'y aurait pas un problème dans la dernière présentation ?
Audrey
Sorties en salle le 10 octobre

"L'assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford"

D'Andrew Dominik (Etats-Unis, 2H38 - Titre original : The assassination of Jesse James by the coward Robert Ford). Avec Brad Pitt, Casey Affleck.
Jesse James, braqueur de diligences qui terrorisa les honnêtes gens dans les années 1870 et devint une légende de son vivant.
Le Néo-zélandais Andrew Dominik a axé cette superproduction (son deuxième film après "Chopper" en 2000, déjà basé sur la vie d'un célèbre criminel) sur la relation entre le hors-la-loi et son assassin, un membre de la bande. Mais il gomme les origines sociales de la rébellion de Jesse James, les difficultés économiques de sa famille de petits fermiers pro-esclavagistes et les conséquences tragiques qu'aura pour elle la défaite du camp sudiste lors de la Guerre de Sécession. Musique et récit en voix off omniprésents, ralentis, image panoramique à la photographie très travaillée, soulignent le caractère légendaire du héros, au risque de lasser. Ce rôle a valu à Brad Pitt le prix du meilleur acteur au Festival de Venise.

"This is England"

De Shane Meadows (Grande-Bretagne, 1H37). Avec Thomas Turgoose, Stephen Graham. Avertissement au public.
Dans une ville côtière du Nord de l'Angleterre, Shaun, un enfant rouquin de douze ans légèrement enveloppé, au visage poupin, mène une vie plutôt terne et solitaire avec sa mère. Celle-ci fait de Shaun la risée de l'école en l'affublant de pantalons à pattes d'éléphant démodés, isolant encore un peu plus l'enfant déjà inconsolable après la mort de son père, disparu durant la guerre des Malouines. Il rencontre alors un groupe de skinheads plus âgés dont il devient la coqueluche, adoptant le crâne rasé et les bottes Doc Martens... mais aussi la consommation de bière, la violence et le discours hargneusement xénophobe. Un sombre parcours initiatique sur fond de crise sociale aigüe. Sélectionné aux Festivals de Toronto et Berlin, le film a obtenu le prix du jury à la Fête du cinéma de Rome.

"Un jour sur terre"

Documentaire d'Alastair Fothergill (Etats-Unis - Titre original : Earth).
Après "la Planète Bleue", le Britannique Alastair Fothergill propose un périple en technicolor de 90 mn autour de cette planète singulière et miraculeuse. D'un pôle à l'autre, le spectateur est invité dans l'intimité des tannières et des nids, se glisse au coeur des migrations géantes des caribous dans le grand Nord, accompagne l'épuisante quête d'eau des éléphants, attaqués par les lions dans le delta de l'Okavango, à la pointe australe de l'Afrique. Fothergill, ancien directeur du département "Histoire naturelle" de la BBC, prend le parti des animaux pour conter la dégradation de leur environnement. En larges tableaux vivants et grands effets (mais sans truquages, il y tient) il illustre ce que l'ancien vice-président américain Al Gore démontre et explique à propos du réchauffement climatique dans son documentaire, "Une Vérité qui dérange".

"Lagerfeld confidentiel"

Documentaire de Rodolphe Marconi (France, 1H27).
Fasciné par le couturier, Rodolphe Marconi filme celui-ci au quotidien, dans son appartement plein de livres, de bagues et d'iPods, dans les coulisses des défilés, en train de faire un croquis sur un coin de table ou de photographier des modèles. Le portrait d'un homme en perpétuel mouvement, toujours entre deux avions ou deux taxis, qui dit avoir "besoin d'être seul" et n'aimer que "le changement". Karl Lagerfeld commente des images d'archives qui le montrent enfant et répond aux questions de bonne grâce et avec humour. S'il apparaît furtivement sans ses célèbres lunettes noires, il ne se révèle guère. Le film, sélectionné au festival de Berlin 2007, a nécessité trois ans de travail.

"Le rideau de sucre"

Documentaire de Camila Guzman Urzua (France, 1H20).
Primé dans plusieurs festivals internationaux, "Le rideau de sucre" raconte l'enfance de son auteur, Camila Guzman Urzua dans un éphémère "paradis", l'île de Cuba dans les années 70 et 80, époque de l'apogée du régime castriste. Passionnant, ce film tourne le dos aux clichés associés à Cuba pour dresser le portrait d'une génération aujourd'hui trentenaire, qui a grandi sur l'île avant d'émigrer massivement. Camila Guzman Urzua est née à Santiago du Chili, avant de fuir avec sa famille à l'âge de deux ans, vers La Havane, après le coup d'Etat militaire qui a renversé le président socialiste Salvador Allende en 1973. De retour à Cuba après 15 ans d'absence, la cinéaste dépeint un "paradis" perdu avec une tendresse empreinte de nostalgie qui n'empêche pas la lucidité, et le délabrement actuel du pays est montré sans fard.

"La vie est une goutte suspendue"

Documentaire d'Hormuz Kéy (France -Iran, 1H25).
Moustache à l'ancienne, vêtements de récupération et réveil à la main, une drôle de silhouette hante les rues du 10e arrondissement de Paris. C'est celle de Christian de Rabaudy, un professeur de philosophie retraité atteint d'une maladie banale et pourtant mortelle, le diabète. Le portrait d'un personnage doté d'un sens exotique du quotidien.

"Le corbeau et un drôle de moineau"

Film d'animation de Morteza Ahadi, Mohammad Ali Soleymanzadeh, Abdollah Alimorad (45 minutes, Iran).
Trois fables dont les oiseaux sont les héros : les tribulations d'un intrépide petit moineau au pays du coton, le portrait d'un jeune corbeau arrogant qui veut devenir le plus fort des animaux et les mésaventures d'un autre, qui chipe tout ce qui brille et sème la zizanie dans un paisible village. Trois histoires tirées de vieilles légendes iraniennes et trois techniques : marionnettes, dessins sur cellulos et personnages en feutre, lin, toile de jute et bois lavé.

"En cloque, mode d'emploi"

De Judd Apatow (Etats-Unis, 2H10 - Titre original : Knocked up). Avec Catherine Heigl, Seth Rogen.
Ben Stone coule des jours heureux avec ses quatre inséparables copains glandeurs, dont le projet est de créer le site internet "starsapoil.com". Après une soirée arrosée Alison, une jeune ambitieuse qui travaille à la télévision, passe la nuit avec Ben et se retrouve enceinte.

"Halloween"

De Rob Zombie (Etats-Unis, 1H40). Avec Malcolm McDowell, Tyler Mane, Daeg Faerch. Interdit aux moins de seize ans.
Un 31 octobre, le soir de la fête des masques de Halloween, Michael, 10 ans, met un masque en latex et assassine la moitié de sa famille au couteau de cuisine. Dix-sept ans plus tard, toujours masqué et mutique, il s'échappe de la prison psychiatrique et recommence à tuer.
Le remake de "Halloween, La Nuit des masques" de John Carpenter (1978).

"Proibido proibir, interdit d'interdire"

De Jorge Duran (Brésil, 1H45). Avec Caio Blat, Alexandre Rodrigues, Maria Flor.
Les tribulations amoureuses de trois jeunes universitaires. Léon partage son appartement avec Paulo et sort avec Leticia, laquelle a un faible pour Paulo. Tous trois tentent d'aider Rosalina, hospitalisée dans le CHU où Paulo est interne, préoccupée par la disparition de ses fils. Ils vont découvrir la violence des banlieues de Rio. Un film primé dans plusieurs festivals dont le Festival de films latino-américain de Biarritz.

"Sa majesté Minor"

De Jean-Jacques Annaud (France, 1H41). Avec José Garcia, Vincent Cassel, Claude Brasseur, Bernard Haller.
Dans une île imaginaire perdue en Mer Egée, avant Homère, Minor, mi-homme mi-cochon, orphelin et muet, file des jours tranquilles dans la douce tiédeur de la porcherie en compagnie de sa bonne amie la Truie. Lors d'une escapade dans la forêt mythologique, il fait la rencontre du Dieu Pan, alias Satyre, qui l'initie au paganisme.
Le dernier scénario écrit par Gérard Brach, fidèle complice de Jean-Jacques Annaud, auteur de "La Guerre du feu", "Le Nom de la rose", "L'Ours" ou "L'Amant".

"Sans moi"

D'Olivier Panchot (France). Avec Clémence Poésy, Yaël Abecassis.
Anna, jeune mère divorcée, embauche Lise, pour s'occuper de ses deux enfants. Quand cette petite étrangère entre dans l'intimité sa maison, Anna est immédiatement séduite, mais elle va découvrir que Lise est en proie à de dangereuses passions.
L'adaptation du roman homonyme de Marie Depleschin.

"Si j'étais toi"

De Vincent Perez (France, 1H32). Avec David Duchovny, Lili Taylor, Olivia Thirlby.
Benjamin et Hannah forment un couple modèle. Après un accident de voiture, Hannah et leur fille de 16 ans, Samantha, tombent dans un profond coma. Seule Samantha survit. Pour Benjamin, l'esprit d'Hannah s'est glissé dans le corps de sa fille.


Edité le 10-10-2007 à 20:11:11 par Audrey


 
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