Le Petit Monde d'Audrey
 
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ThunderLord
Simulacre a écrit :

Allons-y ensemble !


Ok. Au hasard, on n'a qu'à aller au Ciné-cité, à Lyon

Simulacre a écrit :

Déjà loin.


C'est là tout le problème en effet

Message édité le 26-04-2007 à 22:09:25 par ThunderLord
Simulacre
Allons-y ensemble !



Déjà loin.
ThunderLord
Idem pour Next, il faut que je le vois celui-là, histoire de voir s'il est à la hauteur
Simulacre
"Les oubliées de Juarez", autant le film peut être intéressant, autant j'ai des doutes sur le jeux d'acteur.

"Next", pour lequel j'ai également des doutes, mais c'est une adaptation de Dick, je me dois d'y aller.
Audrey
Sorties en salle ce 25 avril

"Le marché de la faim"

D'Erwin Wagenhofer (Autriche, 1H35 - Titre original : We feed the world) avec Jean Ziegler, Peter Brabeck, Karl Otrok.
Pourquoi les poules d'Europe grignotent-elles la forêt amazonienne ? Jusqu'à quand l'agriculture ultra subventionnée des pays du Nord forcera-t-elle les paysans d'Afrique à émigrer et devenir sans-papiers, faute de vivre de leur récolte ? interroge cet édifiant documentaire. Signé par l'Autrichien Erwin Wagenhofer, le film dénonce quelques-unes des aberrations, parfois meurtrières, liées à une gestion de l'alimentation dictée à l'échelle de la planète, par les intérêts d'une poignée de grosses entreprises.
Tourné dans six pays (Suisse, Autriche, France, Espagne, Roumanie, Brésil), "Le marché de la faim" part des aliments qui garnissent le réfrigérateur du consommateur occidental pour faire la lumière sur les conditions de leur production. Riche de témoignages d'agriculteurs, de pêcheurs ou d'industriels, le documentaire a pour fil rouge les analyses de Jean Ziegler, rapporteur spécial des Nations unies pour le droit à l’alimentation. Il illustre très concrètement les dangers d'une logique économique où la nourriture est échangée, produite et consommée comme une simple marchandise, selon la seule loi du profit des entreprises privées, quels qu'en soient les coûts humains et écologiques.

"J'veux pas que tu t'en ailles"

De Bernard Jeanjean (France, 1H28). Avec Judith Godrèche, Richard Berry, Julien Boisselier.
Lorsqu'un de ses patients habituels, Raphaël (Julien Boisselier), confie à Paul sur le divan sa liaison avec une femme mariée, celui-ci ne se méfie pas jusqu'à ce que les indices s'accumulent... Découvrant la trahison de sa compagne, Paul panique brièvement avant de décider d'user du pouvoir de l'analyste sur son patient pour manipuler ce dernier, dans le but de faire capoter l'aventure. S'en suit une série de scènes croquignolesques, où le mari cocu est forcé d'entendre, tel Arnolphe dans "L'école des femmes" de Molière, le récit des sentiments éveillés par un autre chez celle qu'il convoite.
Le vaudeville amoureux est ici pimenté par une légère satire du discours psychanalytique, dont Paul, de plus en plus inquiet, manie les concepts avec une maladresse croissante, pour tenter de retourner la situation à son profit. Le jeune réalisateur Bernard JeanJean repeint le vaudeville aux couleurs d'une comédie romantique pimentée de psychanalyse, et dirige le trio Judith Godrèche, Richard Berry et Julien Boisselier. En 2004, il avait réalisé "J'me sens pas belle", une comédie enlevée sur les affres du premier rendez-vous entre deux trentenaires, dont Julien Boisselier tenait déjà l'affiche aux côtés de Marina Foïs. Son propos, avant tout léger, ne fait qu'effleurer la profondeur psychologique et la satire de la dépendance contemporaine à la psychanalyse.

"Les oubliées de Juarez"

De Gregory Nava (Etats-Unis, 1H55 - Titre original : Bordertown). Avertissement "public sensible". Avec Jennifer Lopez, Antonio Banderas, Martin Sheen.
Inspiré de faits réels, "Les oubliées de Juarez" raconte l'enquête menée par une ambitieuse journaliste américaine aux origines mexicaines pour retrouver les auteurs du viol et de la tentative d'assassinat d'une jeune ouvrière de Ciudad Juarez. Cette ville du Mexique frontalière avec les Etats-Unis abrite d'innombrables "maquilas", les usines d'assemblage nord-américaines dénoncées par ONG et syndicats pour leurs pénibles conditions de travail et leurs bas salaires.
"Les oubliées de Juarez" revient sur les assassinats, non élucidés depuis les années 1990, de plusieurs centaines voire milliers de jeunes filles employées dans ces usines et à la merci, dit le film, de mystérieux hommes qui les tuent pour assouvir des pulsions sadiques. Mais à trop vouloir faire un thriller haletant et un film à grand spectacle, Gregory Nava ("Frida", "Why do fools fall in love ?" ) sacrifie scénario et personnages, largement caricaturaux, et lasse rapidement, avec un montage à la cadence effrénée et une tonitruante musique.

"Morituri"

D'Okacha Touita (France, Algérie, 1H56). Avec Miloud Khetib, Azzedine Bouraghda.
1990. Dans la guerre civile qui déchire l'Algérie, le commissaire de police Brahim Llob, la cinquantaine, traque les islamistes au quotidien. Devenu leur cible privilégiée, c'est la peur au ventre qu'il entre chaque matin dans son bureau au commissariat central d'Alger. Gênant pour le pouvoir, il s'apprête à publier un livre dénonciateur. Forcé de prendre sa retraite anticipée, pourra-t-il en profiter ?
L'adaptation du premier volet de la trilogie des romans policiers de Yasmina Khadra dans lequel intervient le personnage du commissaire Llob.

"American haunting"

De Courtney Solomon (Grande-Bretagne, 1H33). Avec Donald Sutherland, Sissy Spacek, Rachel Hurd-Wood. Film interdit aux moins de douze ans.
Une descendante de la famille Bell découvre le récit d'événements étranges survenus dans le passé, rédigé par une aïeule. En 1817, des bruits étranges et des manifestations surnaturelles envahissent la ferme de la famille Bell. L'Esprit qui hante la demeure agresse Betsy, la fille adorée de la famille : elle semble possédée dès que résonnent les douze coups de minuit. Les Bell tentent de comprendre pourquoi cet Esprit s'attaque à eux et va jusqu'à prononcer une sentence de mort à l'égard de l'un des membres de la famille.
Tourné au Canada et en Roumanie par l'auteur de "Donjons et dragons" (2000), le film a été sévèrement accueilli par la critique aux Etats-Unis. Pour le quotidien New York Times, "ce qui hantera le spectateurs pendant des jours, c'est l'ennui provoqué par le film".

"Destricted"

De Larry Clark. Avec Matthew Barney, Gaspar Noé, Marina Abramovic, Marco Brambilla, Richard Prince, Sam Taylor-Wood (Etats-Unis, Grande-Bretagne, 1H45). Film interdit aux moins de 18 ans (scènes pornographiques).
Sept courts métrages au travers desquels réalisateurs et artistes, parmi les plus visionnaires et provocateurs de leur génération, font se rencontrer l'art et le sexe. Destricted a été présenté en 2006 dans le cadre de la Semaine de la Critique, section parallèle du Festival de Cannes.

"Idiocracy"

De Mike Judge (Etats-Unis, 1H25). Avec Luke Wilson, Maya Rudolph, Dan Shephard.
Joe Bowers, l'Américain moyen par excellence, est choisi par le Pentagone comme cobaye d'un programme d'hibernation qui va mal tourner. Il se réveille 500 ans plus tard et découvre que le niveau intellectuel de l'espèce humaine a radicalement baissé et qu'il est l'homme le plus brillant sur la planète.
Le nouveau film de Mike Judge, six ans après "Office Space", inédit en France, en 1999.

"Love (et ses petits désastres)"

D'Alek Keshishian (Etats-Unis, 1H30 - Titre original : Love and other disasters). Avec Brittany Murphy, Matthew Rhys.
Emily Jackson est une jeune fashionista américaine de 27 ans, assistante à la rédaction du magazine Vogue de Londres. Sa vie sentimentale est un désastre, tout comme celle de ses meilleurs amis : Peter, son colocataire gay, et Tallulah, croqueuse d'hommes névrosée.
Le premier film, écrit, réalisé et produit par Alek Keshishian.

"Mimzy"

De Robert Shade (Etats-Unis, 1H35). Avec Rhiannon Leigh Wryn, Rainn Wilson.
Lorsque Noah et sa petite soeur Emma ouvrent l'étrange boîte qu'ils ont trouvée sur la plage, ils y découvrent quelques bizarreries et un lapin en peluche, que la petite fille baptise Mimzy. D'où viennent ces mystérieux objets, et à quoi peuvent-ils servir ? Peu après, les enfants commencent à développer d'extraordinaires capacités. Face aux adultes, au FBI et aux scientifiques qui s'intéressent à leurs mystérieux jouets, Emma et Noah vont devoir s'en sortir seuls et protéger leur trésor.
L'adaptation d'une nouvelle de science-fiction intitulée "Mimsy were the Borogoves" de Lewis Padgett, pseudonyme pour le couple d'auteurs formé par Henry Kuttner et sa femme.

"Momo le doyen"

Documentaire de Laurent Chevallier (France, 1H10).
Roi du swing et de l'improvisation, Momo Wandel Soumah (1926-2003) était le doyen du jazz africain. Il créait sa musique sans l'écrire, en s'inspirant des chansons populaires, et en réunissant autour de sa voix les grands maîtres des instruments traditionnels africains : kora, balafon, flûte pastorale, djembé.

"Next"

De Lee Tamahori (Etats-Unis, 1H36). Avec Julianne Moore, Nicolas Cage.
Cris Johnson "Frank Cadillac" est le seul homme sur terre capable de visualiser deux minutes de son futur et de changer le cours des évènements. Il n'hésite pas à utiliser son pouvoir extrasensoriel en se faisant passer pour magicien ou médium dans un hôtel minable de Las Vegas pour arrondir ses fins de mois. Pour l'agent du FBI Callie Ferris, il représente son unique chance d'empêcher une attaque terroriste imminente.
Le film est adapté de la nouvelle de Philip K. Dick "L'Homme doré".

"Nocturnes"

De Henry Colomer (France, 1H15). Avec Sarah Grappin, Miquel Garcia Borda, Quentin Testas, Zacharie Olivet.
A la fin des années 1950, neuf moments privilégiés de la vie d'un enfant, et la chronique du monde qui change autour de lui. Sans prévenir, la grande Histoire s'invite dans le petit univers fragile où il évolue. C'est la guerre de l'autre côté de la mer, en Algérie. Son père devient soldat, les murs d'une caserne remplacent les terrains d'aventures. Reste à l'enfant le royaume de l'imagination.

"Très bien merci"

D'Emmanuelle Cuau (France, 1H40). Avec Sandrine Kiberlain, Gilbert Melki.
Alex, comptable, et Béatrice, chauffeur de taxi, forment un couple sans histoires. Mais un soir, Alex se mêle au travail de la police lors d'un contrôle d'identité. Un engrenage implacable et absurde se met alors en marche: emmené au poste, il se retrouve au chômage, puis en clinique psychiatrique.



Sorties du 1er mai

"Pur week-end"

D'Olivier Doran (France, 1H30). Avec Kad Merad, Bruno Solo, Valérie Benguigui.
Votre meilleur ami ne veut pas retourner en prison, vous le livrez quand-même ? C'est face à ce dilemme que vont se retrouver sept amis d'enfance qui ne se doutaient pas que leur sympathique randonnée annuelle au sommet de l'Iseran allait se transformer, cette fois-ci, en une improbable cavale, avec toutes les polices de France à leurs trousses.

"Spider-Man 3"

De Sam Raimi (Etats-Unis, 2H19). Avec Tobey Maguire, Kirsten Dunst, Thomas Haden Church.
Peter Parker a enfin réussi à concilier son amour pour Mary-Jane et ses devoirs de super-héros. Mais l'horizon s'obscurcit. La brutale mutation de son costume, qui devient noir, décuple ses pouvoirs mais transforme aussi sa personnalité, pour laisser ressortir l'aspect sombre et vengeur que Peter s'efforce de contrôler. Peter va faire face à ses démons et affrontera deux des pires méchants de l'histoire, l'Homme-sable et Vénom.
 
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