Le Petit Monde d'Audrey
 
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jilbi
ha non, hellboy est pas mal comme film
ThunderLord
C'est un hellboy, il est déjà assez décrédibilisé d'office
jilbi
je le sais très bien C'est juste un coup de gueule contre les localisations françaises foireuses
Comme pour Hellboy 2 : The Giolden Army , traduit en français par: hellboy 2 : les Légions d'Or Maudites.
Jor, c'est quoi l'intérêt de rajouter "maudites" ? ça fait plus peur ? ou c'est juste pour décrédibiliser le film ?
Audrey
Sachant que je n'ai pas mes entrées auprès de tous les producteurs de films (et heureusement pour moi, d'ailleurs), il est évident que les résumés sont ceux balancés sur le Net. Et ce n'est pas moi, très fâchée avec l'anglais (ça doit être de naissance, je pense ) qui risque de m'apercevoir des erreurs de traduction... Donc, cessez les jets de pierres, j'suis innocente
jilbi
je suis allé voir Appaloosa, et c'est un western fort sympathique. Pas grand chose à part ça à se mettre sous la dent

edit: je viens de voir le résumé que t'as sûrement pompé ailleurs, mais pour info, "deputy" ici a le sens d'adjoint (au marshall, qui est plutôt cherif) que député. En fait, c'est le "marshall and his deputies" qui se font tuer (le sherif et ses adjoints )
Stop traduction google ~~
Audrey
Sorties en salle le 1er octobre

"Cliente"

De Josiane Balasko (France, 1H45). Avec Nathalie Baye, Eric Caravaca, Isabelle Carré.
Judith a la cinquantaine séduisante. Femme équilibrée, elle présente une émission de téléachat. Divorcée, elle vit seule, avec pour confidente sa soeur Irène, la seule à connaître son secret : Judith s'offre régulièrement les services sexuels de jeunes gens, qu'elle choisit sur les sites d'escort d'internet. Elle rencontre ainsi Patrick, qu'elle apprécie pour sa gentillesse, son charme et sa simplicité. Or celui-ci est marié et amoureux de sa femme Fanny, laquelle pense que son mari fait des chantiers. Josiane Balasko ne fait pas toujours dans la dentelle, avec une caricature facile de l'univers du téléachat et en guise de bande originale, une chanson rap aux paroles agressivement explicites sur la prostitution masculine.

"Go Fast"

De Olivier Van Hoofstadt (France, 1H30). Avec Roschdy Zem, Olivier Gourmet, Jean-Michel Fête.
Ce deuxième film d'Olivier Van Hoofstadt après "Dikkenek", met en scène Roschdy Zem en flic infiltré dans un important réseau de trafic de cannabis, qui achemine celui-ci depuis le Maroc dans de folles équipées nocturnes en voiture volée. La nuit, dans une tour de la banlieue parisienne, des policiers en planque surveillent des trafiquants de drogue. Soudain, ceux-ci chargent la "came" dans une voiture qui part en trombe dans l'obscurité, au sein d'un convoi de trois bolides : c'est un "go-fast". Spectaculaires courses en voiture, univers de polar, Olivier Van Hoofstadt sort le grand jeu. Si Roschdy Zem est irréprochable, le manque de charisme des acteurs jouant les "méchants", des dialogues purement utilitaires et un scénario qui néglige la psychologie au profit de l'action, ôtent de la crédibilité au film et nuisent même au suspense.

"Séraphine"

De Martin Provost (France, 2H05). Avec Yolande Moreau, Ulrich Tukur, Anne Bennent.
Une femme de la campagne un peu illuminée, merveilleusement interprétée par Yolande Moreau, est employée comme domestique dans des familles bourgeoises au début du XXe siècle. Elle atteindra une brève notoriété comme peintre primitif. L'héroïne a existé : Séraphine Louis, née en 1864 dans l'Oise et morte en 1942 dans un hôpital psychiatrique, a peint de nombreuses toiles. Pour son troisième long-métrage, Martin Provost ("Tortilla y cinema", "Le ventre de Juliette" ) brosse un passionnant portrait, dans un film inspiré au style volontairement dépouillé, à la fois poignant et sobre, suggérant sans les imposer, diverses clés pour comprendre ce tragique destin féminin.

"Afterschool"

De Antonio Campos (USA, 1H46 - Interdit aux moins de 12 ans). Avec Ezra Miller, Jeremy White, Emory Cohen.
Ce premier film dérangeant et d'une grande maîtrise formelle, signé par un jeune New-yorkais de 24 ans, Antonio Campos, met en scène les angoisses de l'adolescence à l'ère d'internet. Interne dans une prestigieuse école internationale, le personnage principal déambule, caméra à la main, dans le cadre d'un atelier vidéo. Un jour, deux soeurs séduisantes, parmi les élèves les plus populaires, sont prises de convulsions et agonisent en quelques minutes, face à sa caméra.

"Une histoire de famille"

De Helen Hunt (USA, 1H40). Avec Helen Hunt, Colin Firth, Bette Midler.
Rien ne va plus dans la vie d'April lorsque Ben lui annonce qu'il la quitte. A 39 ans, pour cette enseignante new-yorkaise, c'est le choc. April fait alors la connaissance de Frank, le père d'un de ses élèves, divorcé depuis peu. Juste au moment où une romance s'amorce entre eux, Ben, pris de remords, décide de renouer avec son ex-épouse.

"Appaloosa"

De Ed Harris (USA, 1H55). Avec Ed Harris, Viggo Mortensen, Renée Zellweger.
Etats-Unis, 19e siècle. Virgil Cole est désigné comme le nouveau marshall d'une ville dirigée par Randall Bragg, propriétaire de ranch, qui sème la terreur. Ce dernier vient de tuer l'ancien marshall et le député de la ville. Arrêté par Cole et jugé, il est condamné à mort par pendaison, mais réussit à s'échapper au dernier moment. Démarre alors une course-poursuite entre les deux hommes.

"De la guerre"

De Bertrand Bonello (France, 2H10 - Avertissement publics sensibles). Avec Mathieu Amalric, Asia Argento, Guillaume Depardieu.
À la suite d'une expérience troublante, Bertrand, la quarantaine, se laisse entraîner par un homme dans un lieu isolé et utopique. Il y rencontre Uma, une charismatique italienne, qui prône le plaisir permanent. Mais aujourd'hui, atteindre le plaisir est une guerre. Bertrand se laisse alors doucement aller et décide de devenir un guerrier.

"Harcelés"

De Neil LaBute (USA, 1H51). Avec Samuel L. Jackson, Kerry Washington, Patrick Wilson.
Pour Chris et Lisa, emménager dans leur maison de Lakeview Terrace est un rêve devenu réalité. Pourtant, rapidement, les deux jeunes gens deviennent la cible de leur voisin, qui désapprouve leur relation interraciale. Cet homme strict et austère, père célibataire et policier, s'est autoproclamé responsable de la sécurité du quartier. Si ses patrouilles nocturnes procure un sentiment de sécurité à certains, il se montre de plus en plus oppressant envers le jeune couple. Lorsque celui-ci décide de riposter, il déclenche une spirale infernale.

"Vinyan"

De Fabrice Du Welz (France/Grande-Bretagne, 1H40 - Interdit aux moins de 12 ans). Avec Emmanuelle Béart, Rufus Sewell, Julie Dreyfus.
Incapables d'accepter la perte de leur fils dans le tsunami de 2004, Jeanne et Paul sont restés vivre en Thaïlande. Se raccrochant au fait que son corps n'a pas été retrouvé, Jeanne s'est persuadée que son enfant a été kidnappé, dans le chaos qui suivit la catastrophe, et qu'il est encore vivant. Paul, sceptique, ne veut pas briser le dernier espoir de sa femme. La quête du couple va les emmener dans la jungle tropicale, au sein d'un royaume surnaturel où les morts ne le sont jamais tout à fait.

"Une histoire du tango"

De Caroline Neal (Argentine, 1H24). Avec Emilio Balcarce, Leopoldo Federico, Ernesto Franco.
Jeune contrebassiste, Ignacio Varchausky est un passionné de tango. Obsédé par la perte progressive de la tradition, il fait le pari de créer un orchestre de tango qui serait aussi une école. Exigeant et populaire, son projet implique de réunir des anciens maestros du flamboyant tango de l'après-guerre, de les faire rejouer avec de jeunes musiciens, et ainsi de transmettre les secrets de cette musique aux générations futures.

"Trois faces"

Documentaire d'Erik Bullot (France, 46 mn).
Trois villes portuaires de la Méditerranée : la question du bilinguisme à Barcelone, le droit des étrangers à travers l'existence d'un centre de rétention invisible à Marseille, les travaux récents d'urbanisme à Gênes. Autant de manières d'interroger la frontière entre deux langues, deux pays, le centre et la périphérie.
 
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