Le Petit Monde d'Audrey
 
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Coolness
J'ai été voir Wall-E, mouahaha qu'il est bon ce film ^^
Moi qui adore les films d'animation et les ptites comédies avec un chouïa d'eau de rose dedans, j'ai été servi


En plus y'avait Tya.
Audrey
Sorties en salle le 30 juillet

"Wall-E"

De Andrew Stanton (USA, 1H37 - Film d'animation, à partir de 6 ans). Avec les voix de Philippe Bozo, Marie-Eugénie Maréchal, Emmanuel Jacomy.
Audacieux cocktail mêlant science-fiction, fable écologique, poésie et humour, mais aussi superbe réussite graphique bourrée de clins d'oeil au cinéma des années 1970, le film d'animation "Wall-E" est la dernière production des inventifs studios Pixar.
Quelque part sur le globe, une mégalopole moderne et ses gratte-ciels... mais un zoom dissipe aussitôt ce mirage de modernité conquérante. Car ces tours ne sont en fait que de vertigineuses piles de déchets, broyés et compactés (à la manière des compressions du sculpteur César) puis minutieusement empilés par un infatigable petit robot, baptisé Wall-E. Dernier d'une série d'appareils conçus pour nettoyer une planète submergée par les déchets, ce modeste broyeur rouillé, aux formes obsolètes, est la seule "présence" sur une Terre avec pour seul compagnon un cafard roux.

"Surveillance"

De Jennifer Chambers Lynch (USA, 1H38 - Interdit aux moins de douze ans). Avec Julia Ormond, Bill Pullman, Pell James.
Signé par la fille de David Lynch, Jennifer, "Surveillance" qui met en scène deux agents du FBI venus enquêter sur une série de meurtres dans une petite ville, est un thriller à la noirceur "lynchienne" peu convaincant. Dévoilé au Festival de Cannes, en séance de minuit, ce film met en scène deux agents du FBI venus enquêter sur une série de meurtres sauvages, perpétrés par un assassin masqué, dans une petite ville perdue. Ils débutent leurs investigations en interrogeant quelques témoins qui semblent, chacun, avoir quelque chose à cacher: un policier à la gâchette facile, une jeune paumée qui se drogue et une petite fille de huit ans. Une série de flashbacks révèlent peu à peu une réalité complexe.

"X-Files Régénération"

De Chris Carter (USA, 1H44 - Avertissement publics sensibles). Avec David Duchovny, Gillian Anderson, Amanda Peet.
Film inspiré de la série TV à succès "X-Files Aux frontières du réel", ce film est d'abord un secret : l'intrigue est tenue secrète. Ce thriller surnaturel est une histoire inédite qui s'inscrit dans l'esprit des épisodes les plus marquants de la série culte, et développe encore les relations complexes entre Fox Mulder (Duchovny) et Dana Scully (Anderson) dans des directions inattendues. Face aux mystères et au paranormal, Mulder poursuit sa quête de la vérité, et Scully, médecin, femme passionnée et remarquablement intelligente, est toujours intimement liée à ces recherches.

"Prom Night, le bal de l'horreur"

De Nelson McCormick (USA, 1H28 - Interdit aux moins de douze ans). Avec Brittany Snow, Johnathon Schaech, Jessica Stroup.
Trois ans après le massacre de sa famille par un dangereux psychopathe, Donna a enfin repris une existence normale et de prépare à vivre la soirée la plus importante de l'année : le bal de la promo de son lycée. Elle ignore que Richard Fenton, le tueur, s'est échappé de l'asile pour la retrouver... Un détective se lance à sa poursuite pour éviter le pire.

"Un millier d'années de bonnes prières"

De Wayne Wang (USA, 1H23). Avec Henry O, Faye Yu, Pavel Lychnikoff.
Après son divorce, Yilan, une jeune femme chinoise installée dans une petite ville des Etats-Unis, reçoit la visite de son père, M. Shi, vivant à Pékin, et désireux de l'aider à surmonter sa peine. M. Shi découvre alors avec surprise la vie de sa fille dans ce pays étranger et il comprend rapidement qu'elle n'a pas vraiment besoin de lui, qu'elle ne souffre pas de sa séparation avec son mari. Tout les éloigne : leurs cultures, leurs mode de vie, leurs langages et la communication entre le père et la fille semble impossible. Yilan refuse l'aide de son père et avec elle, l'héritage de la culture chinoise.

"La princesse du Nebraska"

De Wayne Wang (USA, 1H17). Avec Li Ling, Pamelyn Chee, Patrice Binaisa.
Sasha est originaire de Pékin. Elle suit sa première année d'université aux Etats-Unis, à Omaha dans le Nebraska. Après des vacances passées en Chine, elle se découvre enceinte de 4 mois et décide de partir à San Francisco pour interrompre sa grossesse. Sans nouvelles du père de son enfant, Yang, un jeune artiste chinois, Sasha retrouve à San Francisco Boshen, l'ex-amant de Yang de retour aux Etats-Unis, qui essaie de la convaincre de garder l'enfant.

"Trois histoires de famille"

De Guillaume Malandrin, Pia Marais, Josh Appignanesi (France/Allemagne/Grande-Bretagne).
Série de trois films ("Trop libre", "Ca m'est égal si demain n'arrive pas", "Le Cantique des cantiques" ) signés par des réalisateurs et cinéastes européens sur le thème de la famille.
- Dans "Ca m'est égal si demain n'arrive pas" du belge Guillaume Malandrin, le personnage principal récemment sorti de prison, prend contact avec son fils de dix ans, qu'il ne connaît pas.
- Avec "Trop libre", la réalisatrice allemande Pia Marais met en scène une adolescente qui subit le mode de vie dissipé de ses parents alors qu'elle rêve d'un foyer stable et ordinaire.
- Dans "Le Cantique des cantiques", le cinéaste britannique Josh Appignanesi évoque une tranche de vie d'une jeune femme juive religieuse et célibataire qui regagne Londres après 3 ans dans une école religieuse pour s'occuper de sa mère mourante.

"Falafel"

De Michel Kammoun (France, 1H23). Avec Elie Mitri, Gabrielle Bou Rached, Michel Hourani.
Une nuit de la vie d'un jeune Libanais, Toufic, et ses déambulations nocturnes. Entre sa famille, ses amis et ses amours, il essaie de croquer la vie à pleines dents, s'amuser, aimer, et chaque seconde qui passe est vitale. Mais il découvre que vivre normalement, dans ce pays, est un luxe hors de sa portée.


Reédition :

"Vivaldi, un prince à Venise"
De Jean-Louis Guillermou (France/Italie, 1H35).
Après s'être attaqué à Bach, le réalisateur Jean-Louis Guillermou signe avec "Vivaldi, un prince à Venise", qui ressort mercredi, un nouveau portrait filmé de compositeur, aventure méritante qui passe ici difficilement l'épreuve du grand écran. Ce film de 2007 est à nouveau programmé dans une soixantaine de salles "en hommage" au comédien Michel Serrault, disparu à la fin juillet l'an dernier, à l'âge de 79 ans, qui y tient son dernier rôle. Féru de musique classique, Jean-Louis Guillermou s'emploie depuis des années à transmettre sa passion à un large public en tournant des films en costumes d'époque. Le réalisateur a voulu rendre hommage à un génie de l'ère baroque en réalisant le premier portrait cinématographique d'Antonio Vivaldi (1678-1741). Le comédien italien Stefano Dionisi, qui incarnait le castrat Farinelli dans le film à succès de Gérard Corbiau, campe ici celui que sa chevelure et sa qualité d'ecclésiastique firent surnommer le "prêtre roux". Le spectateur accompagne le musicien de palais en canaux et jusqu'à Vienne, où Vivaldi est mort dans le dénuement en lieu et place de la consécration attendue.
 
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