[g]Grand prix du roman de l\'Académie française[/g] à [g]Vassilis Alexakis[/g] pour [i]"Ap. J.-C."[/i] (Stock).
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[g]Prix Goncourt[/g] à [g]Gilles Leroy[/g] pour [i]"Alabama Song"[/i] (Mercure de France).
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[g]Prix Renaudot[/g] à [g]Daniel Pennac[/g] pour [i]"Chagrin d\'école"[/i] (Gallimard).
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[g]Prix de Flore 2007[/g] à [g]Amélie Nothomb[/g] pour [i]"Ni d\'Eve ni d\'Adam"[/i] (Albin Michel).
Dans son 16e roman en 16 ans, Amélie Nothomb renoue avec la veine nippone de "Stupeur et tremblements" (1999), son mégasuccès vendu à près de deux millions d\'exemplaires toutes éditions confondues.
Dans [i]"Ni d\'Eve ni d\'Adam",[/i] elle raconte sa liaison à 20 ans avec Rinri, jeune Japonais de bonne famille, un peu glandeur, un peu samouraï, à qui elle tente d\'enseigner le français. L\'analyse des moeurs du pays, de sa mémoire ou de son système scolaire, est toujours pertinente, souvent drôle, parfois hilarante.
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[g]Prix Interallié 2007[/g] à [g]Christophe Ono-dit-Biot[/g] pour [i]"Birmane"[/i] (Plon).
Dans "Birmane", un reporter à la recherche d\'une interview "du plus grand trafiquant de drogue de tous les temps" découvre l\'emprise de la dictature.
Christophe Ono-dit-Biot, 32 ans, est journaliste au Point et romancier. Sorti quelques jours avant les manifestations conduites par les moines à Rangoun, le livre a bénéficié de l\'intérêt du public pour la Birmanie, dont l\'auteur est un fin connaisseur.
[i]"Aucun pays, aucune communauté d\'hommes ou de femmes ne m\'a ému à ce point-là, ce n\'est pas le moment d\'oublier la Birmanie et les Birmans",[/i] a ajouté l\'auteur de [i]"Désagrégé(e)"[/i] (2003) et de [i]"Génération spontanée"[/i] (2005).
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[g]16ème Prix Renaudot des lycéens[/g] à [g]Carole Martinez[/g] pour [i]"Le coeur cousu"[/i] (Gallimard).
Carole Martinez, professeur de français de 41 ans, est récompensée pour son premier roman.
Le roman raconte l\'histoire d\'une mère de famille, Frasquita Carasco, dotée de pouvoirs surnaturels, condamnée à errer à travers une Andalousie troublée par des révoltes paysannes après avoir été réprouvée par son village pour adultère.
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[g]Prix Quai des Orfèvres[/g] à [g]P.J. Lambert[/g] pour pour son roman [i]"Le vengeur des catacombes".[/i]
Ce prix littéraire, dont c\'est cette année la 61e édition, récompense un manuscrit inédit de roman policier présenté par un écrivain de langue française.
L\'intrigue de ce roman se noue dans une carrière située sous l\'hôpital Broussais où sont découverts deux corps mutilés.
L\'intrigue illustre des liens de respect et de connivence tissés entre policiers et journalistes.
Le prix du quai des Orfèvres est choisi de manière anonyme par un jury présidé par le directeur de la police judiciaire de la préfecture de police de Paris, Christian Flaesch, et composé d\'une vingtaine de membres [i](policiers, magistrats, journalistes).[/i] Pour la désignation du lauréat, outre la qualité littéraire, sont pris en compte l\'exactitude matérielle des détails et le degré de réalisme avec lequel est décrit le fonctionnement de la police et de la justice.');">
Grand prix du roman de l'Académie française à Vassilis Alexakis pour "Ap. J.-C." (Stock).
Prix Goncourt à Gilles Leroy pour "Alabama Song" (Mercure de France).
Prix Renaudot à Daniel Pennac pour "Chagrin d'école" (Gallimard).
Prix de Flore 2007 à Amélie Nothomb pour "Ni d'Eve ni d'Adam" (Albin Michel).
Dans son 16e roman en 16 ans, Amélie Nothomb renoue avec la veine nippone de "Stupeur et tremblements" (1999), son mégasuccès vendu à près de deux millions d'exemplaires toutes éditions confondues.
Dans "Ni d'Eve ni d'Adam", elle raconte sa liaison à 20 ans avec Rinri, jeune Japonais de bonne famille, un peu glandeur, un peu samouraï, à qui elle tente d'enseigner le français. L'analyse des moeurs du pays, de sa mémoire ou de son système scolaire, est toujours pertinente, souvent drôle, parfois hilarante.
Prix Interallié 2007 à Christophe Ono-dit-Biot pour "Birmane" (Plon).
Dans "Birmane", un reporter à la recherche d'une interview "du plus grand trafiquant de drogue de tous les temps" découvre l'emprise de la dictature.
Christophe Ono-dit-Biot, 32 ans, est journaliste au Point et romancier. Sorti quelques jours avant les manifestations conduites par les moines à Rangoun, le livre a bénéficié de l'intérêt du public pour la Birmanie, dont l'auteur est un fin connaisseur.
"Aucun pays, aucune communauté d'hommes ou de femmes ne m'a ému à ce point-là, ce n'est pas le moment d'oublier la Birmanie et les Birmans", a ajouté l'auteur de "Désagrégé(e)" (2003) et de "Génération spontanée" (2005).
16ème Prix Renaudot des lycéens à Carole Martinez pour "Le coeur cousu" (Gallimard).
Carole Martinez, professeur de français de 41 ans, est récompensée pour son premier roman.
Le roman raconte l'histoire d'une mère de famille, Frasquita Carasco, dotée de pouvoirs surnaturels, condamnée à errer à travers une Andalousie troublée par des révoltes paysannes après avoir été réprouvée par son village pour adultère.
Prix Quai des Orfèvres à P.J. Lambert pour pour son roman "Le vengeur des catacombes".
Ce prix littéraire, dont c'est cette année la 61e édition, récompense un manuscrit inédit de roman policier présenté par un écrivain de langue française.
L'intrigue de ce roman se noue dans une carrière située sous l'hôpital Broussais où sont découverts deux corps mutilés.
L'intrigue illustre des liens de respect et de connivence tissés entre policiers et journalistes.
Le prix du quai des Orfèvres est choisi de manière anonyme par un jury présidé par le directeur de la police judiciaire de la préfecture de police de Paris, Christian Flaesch, et composé d'une vingtaine de membres (policiers, magistrats, journalistes). Pour la désignation du lauréat, outre la qualité littéraire, sont pris en compte l'exactitude matérielle des détails et le degré de réalisme avec lequel est décrit le fonctionnement de la police et de la justice.
Audrey |