| Dernières réponses | |  Héhé, je suis pour  |
| | La publication à compte d'auteur en a plumé plus d'un... Certaines maisons n'éditent que selon ce principe (ça leur rapporte gros !), et beaucoup de gens se font avoir : une grosse somme d'argent à sortir, pour récupérer un carton de bouquins qu'on ne sait pas où fourguer et qui vous restent sur les bras. Car bien des naïfs pensent que le libraire du coin va les accueillir à bras ouverts et placer leur "chef d'oeuvre" en évidence dans la vitrine... Le Calcre a souvent mis en garde contre ce mode d'édition, et certaines maisons particulièrement malhonnêtes.
Pierma a écrit :
Tiens, si on faisait un concours de titres de bouquins "géniaux mais incompris ?" Du style :
"Les mémoires d'une fourchette."
Edition La Table Ronde, coll. Gastronomie Vivante.
(Avec un résumé obligatoire) 
J'ai bien envie de démarrer ça dans l'Aire de Jeu, sous le titre "Livres imaginaires."  |
Excellente, ton idée, Pierma ! On risque d'y passer de forts bons moments !  Tu démarres quand tu veux.  |
| | Hé, ça peut être un moyen pas cher de faire de l'édition à compte d'auteur ! 
Ce service permettrait d'imprimer une vingtaine d'exemplaires (par exemple) pour tester si votre bouquin se vend... et intéresse les lecteurs. Ou pas... 
Je trouverais pas absurde qu'un éditeur spécialisé propose ce service à la carte. Ce serait même un bon moyen pour satisfaire les écrivains géniaux mais incompris, qui sont la plaie du monde de l'édition.
Un seul inconvénient : un éditeur est co-responsable de ce qu'il publie. Il faudrait donc malgré tout jeter un oeil pour vérifier qu'il ne s'agit pas d'une oeuvre négationniste, pédophile, ou franchement diffamatoire à l'encontre de la belle-mère de l'auteur. 
Un éditeur publie tout ce que vous voulez... si vous payez vous-même. On peut donc éditer un navet, mais il y a une quantité minimale.
L'édition à compte d'auteur, c'est jusqu'ici un investissement cher : les génies incompris se retrouvent avec 400 exemplaires (minimum) de leur bouquin à écouler. Ils vont donc écumer les salons du livre, les séances de dédicace dans les Maisons pour tous...
... pour assommer le public avec des sujets improbables...
Tiens, si on faisait un concours de titres de bouquins "géniaux mais incompris ?" Du style :
"Les mémoires d'une fourchette."
Edition La Table Ronde, coll. Gastronomie Vivante.
(Avec un résumé obligatoire)
J'ai bien envie de démarrer ça dans l'Aire de Jeu, sous le titre "Livres imaginaires."
Edité le 28-05-2009 à 13:41:53 par Pierma
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| | Avec le correcteur, ça va tenir encore plus de place...
Solution : prévoir un p'tit placard dans la machine pour le correcteur !  |
| | | Il ne manque plus qu'un correcteur pour éviter que le livre obtenu ne soit bourré de fautes, comme c'est de plus en plus souvent le cas^^ |
| | | Une imprimante capable d'éditer tous les livres que vous souhaitez
(Londres, Angleterre)
Une machine, capable d'imprimer en 5 minutes le livre que vous désirez, aurait été mise en service.
La chaîne de librairies britannique Blackwell aurait lancé une nouvelle machine capable d'imprimer n'importe quel ouvrage sans que les utilisateurs aient besoin de l'acheter en magasin ou de le commander s'il est épuisé ou n'est plus édité.
Ressemblant à une photocopieuse industrielle et imprimant 150 pages par minute, l'Espresso Book Machine pourrait "fabriquer" un livre en moins de temps qu'il ne faut pour préparer un café, couverture incluse.
La machine devrait également profiter aux aspirants romanciers qui peuvent introduire un CD dans l'appareil et imprimer leur ouvrage de façon professionnelle.
Le prix du livré imprimé devrait être le même que celui en vente en librairie. Actuellement, 400 000 livres seraient disponibles à l'impression. Blackwell espère faire passer ce chiffre à un million d'ici l'été 2009.
(Zigonet - 27/04/09)
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Il existe une vidéo qui dévoile cette "machine à éditer"... sacrément encombrante ! Inutile de songer à en installer une dans votre salon, à moins de pousser les murs. |
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