J\'ai pris de mon temps sur mes cours, n\'y allant pas la journée et les rattrapant le soir, ce dès la première journée, en espérant que cela pourrait changer quelque chose.
Je ne sais même pas ce qu\'il est advenu de ces subventions, si oui ou non nous avons eu ce que nous voulions. :pamoi:
Protester / se bouger / manifester, dans des conditions légales, je suis pour, mais lorsqu\'on voit les résultats, ça n\'encourage pas les foules...');">
Pour ce qui est de me bouger, j'ai manifesté pour mon Université, non pas durant les manifestations anti-CPE mais quelques mois avant cela, à ma rentrée de première année, afin d'obtenir les subventions nécessaires pour étudier.
J'ai pris de mon temps sur mes cours, n'y allant pas la journée et les rattrapant le soir, ce dès la première journée, en espérant que cela pourrait changer quelque chose.
Je ne sais même pas ce qu'il est advenu de ces subventions, si oui ou non nous avons eu ce que nous voulions.
Protester / se bouger / manifester, dans des conditions légales, je suis pour, mais lorsqu'on voit les résultats, ça n'encourage pas les foules...
| Cela dit, je ne donne pas tort à cet ancien ministre... Car à y regarder de plus près, cela fait des décennies que les français crient le "ras-le-bol de ci, ou le ras-le-bol de ça", émettent l'idée qu'une révolution ferait du bien pour "secouer le cocotier" ...Mais qu'il n'y a plus personne lorsqu'il s'agit de passer de la parole à l'action ! Vu sous cet angle, Monsieur Mer n'a pas tort : "habitué à obéir", le français râle, certes, mais ne va jamais plus loin !! (sauf en 1789, mais là, il s'agissait d'un peuple affamé, qui, à bout de tout, n'avait d'autre choix). |
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