| Dernières réponses | |  Olivier a écrit :
Je sais que ce ne sont que des humeurs de lycéens, qu'elles peuvent paraître futiles, mais bon 
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Tout fait d'accord avec Pierma a ce propos et ceux qui te disent que ta vie tes humeurs RAB, ben ... pauvres eux quoi.
Olivier a écrit :
Depuis 10 mois, je souffre d'affreux maux de ventre le matin ( nausées, crampes d'estomac ), qui équivalaient aux syndromes de la phobie scolaire ( stress dès que l'on arrive au lycée, évanouissement, etc... ) ...
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Je suis passe par une periode un peu comme toi lorsque j'etais en seconde. Moi c'etait connecte a un desequilibre hormonal couple a un manque de mineraux, bref une crise de croissance qui a ete regle relativement rapidement...
Mais bon l'essentiel c'est justement de retrouver un equilibre, ce que tu sembles avoir reussi a faire...
Et encore une fois d'accord avec ce qui dit Pierma! Decidement... 
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| | Hey, rebienvenue Olivier !
Content que tu aies pu te sortir de cette passe difficile ; crois bien que nous ne nous moquons pas de toi.
On oublie parfois à quel point il est important d'avoir des gens auxquels se raccrocher ; c'est une leçon importante à retenir. |
| | Olivier a écrit :
Je sais que ce ne sont que des humeurs de lycéens, qu'elles peuvent paraître futiles, mais bon |
Tes humeurs sont aussi légitimes que celles des autres. Il n'y a pas que les adultes qui ont le doit d'exprimer ce qu'ils ressentent.
Citation :
Depuis 10 mois, je souffre d'affreux maux de ventre le matin ( nausées, crampes d'estomac ), qui équivalaient aux syndromes de la phobie scolaire ( stress dès que l'on arrive au lycée, évanouissement, etc... ) ... |
Dis donc c'est violent !
Heureux pour toi que tu vives maintenant une phase plus heureuse.
Le temps de se faire des copains et des copines, et ça devient plus facile d'y aller. C'est un effet sur lequel tu pourras toujours compter. Même quand c'est difficile d'aller vers l'inconnu, il y a souvent des gens prêts à te faire une place. |
| | Merci Audrey, je vois que quelqu'un me comprend 
Mais ce n'est pas spécialement que j'avais des problèmes de communication ou autres, mais plutôt que j'étouffais, que plus rien ne me plaisait. |
| | Contente, Olivier, que tout aille mieux. 
On en revient à l'éternel problème des écoles (collèges, lycées...) dans lesquels on a l'impression d'être un simple numéro et où l'intégration est souvent difficile. Pas évident de se rendre de bon coeur en classe lorsque l'on sait que l'on va se retrouver face à des "inconnus", sans dialogue, sans réel lien... 
Il y a toujours "ceux qui ont le lien facile" et les autres.
Les premiers ne sont pas pour autant les plus intéressants d'ailleurs, car parfois leur relation est creuse à démoraliser une fédération de clowns.
Lorsque l'on fait partie de la 2ème catégorie, on se retrouve seul(e) dans un coin, et la journée paraît bien longue : des cours les uns à la suite des autres, puis retour à la maison sans avoir perçu le moindre rayon de soleil.
Le jour où la porte du dialogue s'ouvre avec un(e) ou plusieurs autre(s) élève(s), c'est un autre monde ! Une nouvelle ambiance s'installe, comme un nouveau départ. Tu l'écris toi-même, Olivier : tu revis ! Et cela se comprend aisément.
Le phénomène évoqué plus haut existe aussi dans le monde du travail : il y a des entreprises dans lesquelles personne ne vous adresse la parole sinon pour vous dire un "bonjour" d'arrivée par pure politesse ...et encore ! Inutile de dire que, dans de telles conditions, on part bosser le matin à reculons, une vraie corvée !
Et puis (heureusement), il y a les sociétés dans lesquelles on "trouve sa place", où l'on peut dialoguer avec les autres dans une ambiance "bon enfant". Là, tout est différent, et aller travailler ne demande plus un effort surhumain, ni de ronger son frein à longueur de journée.
Je te souhaite, Olivier que cette année 2008 soit celle de la réussite dans tous tes projets, et qu'une bonne ambiance t'accompagne chaque jour, pour un moral au meilleur de sa forme. |
| | Salut à tous & à toutes 
Je tenais à vous faire ma très bonne humeur du moment. Ce n'est ni pour vous narguer, mais pour moi et pour vous montrer que tout n'est jamais perdu 
Je sais que ce ne sont que des humeurs de lycéens, qu'elles peuvent paraître futiles, mais bon
Depuis 10 mois, je souffre d'affreux maux de ventre le matin ( nausées, crampes d'estomac ), qui équivalaient aux syndromes de la phobie scolaire ( stress dès que l'on arrive au lycée, évanouissement, etc... ) et malheureusement j'ai eu la mauvaise idée de ne pas en parler. Et de sécher les cours en attendant que ça passe. Je naviguais le matin entre chez ma mère et chez mon père, afin de ne pas être pris et j'allais à la bibliothèque ou faire du basket. J'ai manqué 11 jours de lycée de suite. Ma prof. principale a appelé chez moi pour le signaler à mon père. Lorsque mon père a appris ça, il a plus été surpris que fâché. L'on a parlé, et il a décidé de me prendre rendez-vous chez une psychologue.
J'y suis allé 1 mois et honnêtement à part savoir ce que je voulais faire plus tard, cela ne m'a servi à rien.
Les grandes vacances ont passé et j'ai pu respirer. Puis la rentrée est venue. Et là je suis tombé dans une classe où je connaissais personne et là dur de faire le point. Je suis jamais venu plus d'une semaine de suite au lycée, sans sécher au moins un jour. Je n'arrivais plus à suivre. Tout le monde me posait des questions, et je mentais sans cesse, mes parents ne le savaient pas.
Enfin bon, c'était la merde. Et là j'ai décidé début décembre, d'en parler à un mec de la classe. Et ça m'a libéré d'un énorme poids. J'en parlais avec lui, j'commençais à rigoler avec ma classe, j'reparlais à des gens. Résultat : je n'ai plus séché un jour depuis décembre
Enfin bon, tout ça pour vous dire que maintenant tout baigne, je connais toute ma classe, j'm'entends super bien avec eux, j'ai une copine, j'refais du basket.
Bref, je revis. Voilà, ce n'est pas pour être prétentieux de ma part que je dis ça, mais écrire ça, m'a fait beaucoup de bien. Merci à tous si vous arrivez jusqu'ici |
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