Encore un mystère de l\'informatique. Il devait être fatigué de nos lignes loufoques, sûrement. :D');">
Ah oui, tiens, étrange autant que bizarre...
Encore un mystère de l'informatique. Il devait être fatigué de nos lignes loufoques, sûrement.
| - À chaque jour suffit sa peine. - À l’impossible, nul n’est tenu. - À tout seigneur, tout honneur. - Au royaume des aveugles, les borgnes sont rois. - Pierre qui roule n’amasse pas mousse. - Cela se voit comme le nez au milieu du visage. - Chacun pour soi et Dieu pour tous. - C’est en forgeant qu’on devient forgeron. - œuil pour œuil, dent pour dent. - Dis moi qui tu hantes, je te dirai qui tu es. - Qui rit vendredi, dimanche pleurera. - On ne fait pas d’omelettes sans casser d'œufs. - Qui aime bien châtie bien. - Qui dort, dîne. - Qui trop embrasse mal étreint. Edit : typo Edit² : typo² ( :ack:² )
Message édité le 23-05-2006 à 22:15:38 par Constance |
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| Quelques PROVERBES déformés - À chaque jour suffit sa haine. - À l’impôt cible, nul n’est tout nu. - À tout saigneur, toute horreur. - Au royaume des bavures, les cognes sont rois. - Bière qui roule n’amasse pas mousse. - Cela se voit comme l’aîné au milieu du virage. - Chacun pour moi et odieux pour tous. - C’est en forçant qu’on devient fort, géant. - Deuil pour deuil, sang pour sang. - Dis moi qui chante, je te dirai qui huer. - Hara-kiri vendredi, dimanche pleurera. - On ne fait pas d’Hamlet sans caser Dieu. - Qui aime bien charrie bien. - Qui mord, dîne. - Qui trop embrase mal éteint. |
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