:lol: lire ce genre de lignes au petit matin, Simulacre, il y a de quoi passer au Lexomil pour assumer le reste de la journée ... :fou1:');">
Simulacre a écrit :
Effectivement, dès le matin, ça donne matière à reflexion.
lire ce genre de lignes au petit matin, Simulacre, il y a de quoi passer au Lexomil pour assumer le reste de la journée ...
Simulacre
Effectivement, dès le matin, ça donne matière à reflexion.
Audrey
...Si j'osais je dirais que je trouve ces écrits tortueux et torturés... Mais ce n'est que mon humble avis, honorable Arielle Cela dit, joli essai
Arielle
Une idée qui nous est venue, avec une copine de boulot pendant notre pause, et on a fini de l'écrire ensuite.
ThunderLord
Pas mal pas mal... Mais de qui est ce poème ?
Arielle
On était comme des frères Pas de sang, même pas de guerre Entre nous toujours fiers d'êtres seuls sur Terre T'arrive t-il de vibrer pour un autre que toi Et retenir ton souffle pour qu'il respire à ta place? Pour nous on parlait de jamais, de toujours Sans l'ombre d'un doute Comment imaginer que l'on pouvait nous séparer?
Mais elle a de ses mains pris le plus cher De ce qu'il y a en nous, en semant la guerre Elle règne en semant la guerre, Elle règne à l'ombre du soleil, Elle règne en semant la guerre.
Faire partie d'un cortège Combien d'autres avant nous ? Je voudrais qu'on abrège et puis qu'on se retrouve. Le poison dans nos veines finira par nous tuer. Le poison de celle à qui on a donné La promesse d'être là, Le pouvoir d"aimer à jamais, pour toujours, Sans l'ombre d'un doute. Comment imaginer que l'on voudrait s'en séparer ?
Mais elle a de ses mains pris le plus cher De ce qu'il y a en nous, en semant la guerre. Mais tu l'as vu, je saigne. Je reste à terre, à l'ombre du soleil. Viens me libérer de mon sommeil.