| Dernières réponses | |  Ah, voilà donc ce que signifiait ce terme barbare, félicitations à Ouaille et Pierma !
Api => abeilles, c'était tout simple, mais encore fallait-il y penser 
Par contre Audrey, la "fine équipe" tu parles, l'équipe de clowns oui  |
| | Pierma a écrit :
Peut-être le cocon dans lequel loge un essaim d'abeilles ?
(leur ruche naturelle, je veux dire.) |
ça a effectivement à voir avec le logement d'essaims, Pierma ! 
(et merci à Ouaille d'avoir dirigé notre fine équipe du côté des abeilles )
Bon, puisque nous touchons au but, voici la réponse exacte :
il s'agit d'un "mur à abeilles" !
En effet, les Anciens connaissaient parfaitement l’importance des abeilles, et prenaient soin de ces chères colonies indispensables à la pollinisation (contrairement à nous !  ).
Hormis les ruches traditionnelles, ils leur construisaient donc des espaces réservés, de la façon suivante : dans un mur (en pierres sèches), ils façonnaient, à intervalles réguliers, des loges de 40 cm de largeur et de profondeur, pour environ 80 cm de hauteur. Chaque loge pouvait ainsi recevoir une ruche.
L’emplacement du mur était choisi avec rigueur, car il avait son importance : le mur devait être construit sur le côté abrité du vent, afin de protéger l’essaim des vents violents.
Ces apiers ont été actifs jusqu’au milieu du XIXème siècle, puis, laissés à l’abandon, furent envahis par la broussaille, voire totalement détruits pour certains.
Heureusement, des associations de sauvegarde du patrimoine rural veillent au grain, et sont parvenues à en sauver quelques-uns. Certains abritent encore des ruches sauvages.
Voici une photographie d'un apier :
 (Crédit photo : Michel Dupuy) |
| | | Un clapier fait par des abeilles ? |
| | Peut-être le le cocon dans lequel loge un essaim d'abeilles ?
(leur ruche naturelle, je veux dire.) |
| | Ouaille a écrit :
Euh ca me fait penser a abeille, ca... 
On va dire que c'est la ou l'apiculteur exerce ses talents...
Donc, une "ferme" d'abeilles. |
Excellent raisonnement, Ouaille !  api pour abeille, effectivement.
Toutefois, ce n'est pas exactement une "ferme" (quoique...)
Bon, je vous laisse chercher encore un peu maintenant que vous êtes dans la bonne direction ; et si personne ne trouve, je vous donnerais la réponse. |
| | Audrey a écrit :
(...) ni un lieu... (quoiqu'avec la notion de lieu, on se rapproche, tout de même ) |
Ce n'est pas un lieu, mais c'est localisable. 
Est-ce en relation avec un phénomène ? Physique, chimique, biologique, climatique... ?
Ou une partie d'un système : le corps humain, l'atmosphère, l'océan, ... ?
Heu... à rien. C'est pour faire avancer le schimlimili...  |
| | Euh ca me fait penser a abeille, ca...
On va dire que c'est la ou l'apiculteur exerce ses talents...
Donc, une "ferme" d'abeilles. |
| | Constance a écrit :
Un concept alors ?
En poésie, au hasard |
Non, désolée, Constance, ce n'est pas un concept.
Constance a écrit :
Un animal ? Un lieu ? Une personne ? Un métier ? (après ça...) |
Ni un animal, ni une personne, ni un métier, ni un lieu... (quoiqu'avec la notion de lieu, on se rapproche, tout de même ) |
| | | Un animal ? Un lieu ? Une personne ? Un métier ? (après ça...) |
| | Un concept alors ?
En poésie, au hasard |
|
|
[/citation] <br />ça a effectivement à voir avec le logement d\'essaims, Pierma ! :pouce: <br />[i](et merci à Ouaille d\'avoir dirigé notre fine équipe du côté des abeilles ;) )[/i] <br /> <br />Bon, puisque nous touchons au but, voici la réponse exacte : <br /> <br />[centre]il s\'agit d\'un [g]"mur à abeilles"[/g] ![/centre] <br /> <br />En effet, les Anciens connaissaient parfaitement l’importance des abeilles, et prenaient soin de ces chères colonies indispensables à la pollinisation [i](contrairement à nous ! :( ).[/i] <br /> <br />Hormis les ruches traditionnelles, ils leur construisaient donc des espaces réservés, de la façon suivante : dans un mur [i](en pierres sèches),[/i] ils façonnaient, à intervalles réguliers, des loges de 40 cm de largeur et de profondeur, pour environ 80 cm de hauteur. Chaque loge pouvait ainsi recevoir une ruche. <br /> <br />L’emplacement du mur était choisi avec rigueur, car il avait son importance : le mur devait être construit sur le côté abrité du vent, afin de protéger l’essaim des vents violents. <br /> <br />Ces [g]apiers[/g] ont été actifs jusqu’au milieu du XIXème siècle, puis, laissés à l’abandon, furent envahis par la broussaille, voire totalement détruits pour certains. <br /> <br />Heureusement, des associations de sauvegarde du patrimoine rural veillent au grain, et sont parvenues à en sauver quelques-uns. Certains abritent encore des ruches sauvages. <br /> <br />[s]Voici une photographie d\'un apier[/s] : <br /> <br />[centre][URL=http://www.casimages.com][img]http://nsm01.casimages.com/img/2008/01/17//080117082413161621616830.jpg[/img][/URL] <br />[i](Crédit photo : Michel Dupuy)[/i][/centre]'); "Citer ce message")