[g]La comète en désintégration, Schwassmann-Wachmann 3 (SW3), [s]fera dimanche un passage à proximité de la Terre[/s].[/g]
En fait, [g]les deux plus gros fragments de la comète éclatée,[/g] qui s\'approchera alors à la distance minimale, de quelque 10 millions de kilomètres, de notre planète, [g]sont déjà observables non seulement aux télescopes, mais aussi aux simples jumelles, voire à l\'oeil nu.[/g]
[i]"Cependant, la pollution lumineuse des villes interdit les observations. Il faut donc partir à la campagne pour pouvoir réellement observer",[/i] ajoute le chercheur du Laboratoire d\'études spatiales et d\'instrumentation en astrophysique (LESIA) de l\'Observatoire.
[g]A ce jour, plus d\'une cinquantaine de fragments suffisamment grands pour être distingués ont été recensés à ce jour, mais qui continuent à se casser en des morceaux de plus en plus petits. La comète semble condamnée à se désintégrer complètement.[/g]
Ainsi, les astronomes se voient présenter la forme naturelle d\'un phénomène qu\'ils avaient provoqué artificiellement l\'an dernier, en projetant la sonde américaine Deep Impact contre la comète Tempel 1 à la recherche d\'indications sur sa composition. Cette expérience a paradoxalement apporté plus de questions que de réponses espérées sur la formation du système solaire.');"> Dernière infos AFP du 13/05/06...
La comète en désintégration, Schwassmann-Wachmann 3 (SW3), fera dimanche un passage à proximité de la Terre .
En fait, les deux plus gros fragments de la comète éclatée, qui s'approchera alors à la distance minimale, de quelque 10 millions de kilomètres, de notre planète, sont déjà observables non seulement aux télescopes, mais aussi aux simples jumelles, voire à l'oeil nu.
"Cependant, la pollution lumineuse des villes interdit les observations. Il faut donc partir à la campagne pour pouvoir réellement observer", ajoute le chercheur du Laboratoire d'études spatiales et d'instrumentation en astrophysique (LESIA) de l'Observatoire.
A ce jour, plus d'une cinquantaine de fragments suffisamment grands pour être distingués ont été recensés à ce jour, mais qui continuent à se casser en des morceaux de plus en plus petits. La comète semble condamnée à se désintégrer complètement.
Ainsi, les astronomes se voient présenter la forme naturelle d'un phénomène qu'ils avaient provoqué artificiellement l'an dernier, en projetant la sonde américaine Deep Impact contre la comète Tempel 1 à la recherche d'indications sur sa composition. Cette expérience a paradoxalement apporté plus de questions que de réponses espérées sur la formation du système solaire.
Audrey |