| Dernières réponses | |  Merci, Ouaille, pour ce complément d'info. 
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Bon c'est vieux mais TL n'a jamais eu de reponse a la question de savoir comment sa soeur peut etre mammifere et ovipare en meme temps! 
Bon alors, roulement de tambour!
Et bien l'ornihtorynque est un monotrème.
Quoi je me moque du monde???!! non mais c'est une reponse! 
Bon OK plus serieusement, l'ornithorynque (vous me copierez ce mot 100 fois pour la bonne orthographe...) pond donc des oeufs. Quand ils eclosent, les petits sont allaites... et hop le tour est joue: oeufs et allaites.
Tous les mamiferes qui pondent des oeufs sont des monotrèmes. Il y a l'ornithorynque plus 3 especes de porc-epics australiens et donc ce nouvel individu...
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| | Et ma soeur ? Ma soeur ? C'est vrai ça, qu'est-ce-qu'elle devient avec ça ? Aucune idée, j'ai jamais vraiment eu le sens de la famille 
D'ailleurs à la réflexion, elle est ovipare, elle, si je me souviens bien 
Message édité le 13-02-2006 à 00:51:41 par ThunderLord |
| |  ...qu'est-ce que j'en sais moi ? hein !
Sur ce coup-là, je n'ai fait que relever un rapport...et si les scientifiques écrivent des âneries....où va-t-on ? 
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| | Audrey a écrit :
Et un mammifère ovipare insectivore à long bec de la famille de l'ornithorynque |
Je vais sans doute dire une bêtise, mais... Comment peut-il être mammifère s'il est ovipare ? J'ai toujours pensé que ces deux termes étaient diamétralement opposés 
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| | (AFP)
Un bestiaire extraordinaire découvert en Papouasie
Biodiversité : plusieurs dizaines d'espèces nouvelles viennent d'être décrites par des scientifiques lors d'une expédition dans la partie indonésienne de l'île de Nouvelle-Guinée.
Plus de 300 000 hectares de forêt tropicale primaire viennent de révéler la présence de dizaines d'espèces rares ou nouvelles d'animaux et de végétaux en Nouvelle-Guinée.
Cela grâce à une expédition de plusieurs mois menée par le groupe écologiste américain Conservation International (CI) en coopération avec l' Institut indonésien de la science .
Expédition qui se déroulait depuis décembre dernier dans la région des monts Foja au fin fond de la jungle d'Irian Jaxy , partie indonésienne de l'île de Nouvelle-Guinée.
A leur grande stupéfaction, les scientifiques ont découvert une trentaine d'espèces différentes, dont :
un spectaculaire oiseau mangeur de miel (méliphage) à tête orange que l'on avait seulement vu en Australie en 1939,
et un paradisier de Berlepsch qui a donné le spectacle de sa danse de séduction aux explorateurs au deuxième jour de leur arrivée.
De nombreux mammifères ont également été admirés dont une espèce mystérieuse peu connue de marsupial arboricole (Dendrolagus inustus), qui avait été repérée sur une seule montagne des environs avant cela.
Et un mammifère ovipare insectivore à long bec de la famille de l'ornithorynque, ressemblant à un hérisson que les explorateurs ont attrapé à la main.
De même le plus grand rhododendron géant du monde a été découvert montrant une fleur de 15 centimètres de diamètre .
«Cela indique que nous connaissons mal ces forêts qui n'ont jamais été explorées» , indique Jean-Philippe Palasi, de l' organisation écologiste UICN-France .
« Zones sauvages majeures »
Avec le bassin du Congo et l'Amazonie, qui comprend la Guyane française, la Papouasie-Nouvelle-Guinée figure parmi les trois « zones sauvages majeures » définies par CI.
« Elle possède encore un couvert végétal supérieur à 75%, d'où l'intérêt de la préserver » .
Pour leur part, les 34 « points chauds », également définis par CI, ont déjà perdu 75% de leur couvert végétal.
« Il est rare de découvrir autant de nouveaux mammifères de nos jours », commente enfin Robert Barbaud, professeur au Muséum (MNHN).
Seulement 1,7 million d'espèces sont nommées, alors que l'on estime la biodiversité à environ 10 à 20 millions d'espèces.
Message édité le 12-02-2006 à 01:56:43 par Audrey |
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 <br />[centre][g][#0000ff]Un bestiaire extraordinaire découvert en Papouasie[/#][/g][/centre] <br />[g]Biodiversité : plusieurs dizaines d\'espèces nouvelles viennent d\'être décrites par des scientifiques lors d\'une expédition dans la partie indonésienne de l\'île de Nouvelle-Guinée.[/g] <br /> <br />Plus de 300 000 hectares de forêt tropicale primaire viennent de révéler la présence de dizaines d\'espèces rares ou nouvelles d\'animaux et de végétaux en Nouvelle-Guinée. <br /> <br />Cela grâce à une expédition de plusieurs mois menée par le groupe écologiste américain [i]Conservation International[/i] (CI) en coopération avec l\'[i]Institut indonésien de la science[/i]. <br />Expédition qui se déroulait depuis décembre dernier dans la [g]région des monts Foja au fin fond de la jungle d\'Irian Jaxy[/g], partie indonésienne de l\'île de Nouvelle-Guinée. <br /> <br />A leur grande stupéfaction, les scientifiques ont [g]découvert une trentaine d\'espèces différentes,[/g] dont : <br />[*][g]un spectaculaire oiseau mangeur de miel[/g] [i](méliphage)[/i] à tête orange que l\'on avait seulement vu en Australie en 1939, <br />[*]et [g]un paradisier de Berlepsch[/g] qui a donné le spectacle de sa danse de séduction aux explorateurs au deuxième jour de leur arrivée. <br /> <br />De nombreux mammifères ont également été admirés [g]dont une espèce mystérieuse peu connue de marsupial arboricole[/g] [i](Dendrolagus inustus),[/i] qui avait été repérée sur une seule montagne des environs avant cela. <br /> <br />Et un mammifère ovipare insectivore à long bec de la famille de l\'ornithorynque, ressemblant à un hérisson que les explorateurs ont attrapé à la main. <br /> <br />De même [g]le plus grand rhododendron géant du monde[/g] a été découvert montrant une [g]fleur de 15 centimètres de diamètre[/g]. <br />[i] <br />«Cela indique que nous connaissons mal ces forêts qui n\'ont jamais été explorées»[/i], indique Jean-Philippe Palasi, de l\'[i]organisation écologiste UICN-France[/i]. <br /> <br />[centre][img]http://conservation.org/ImageCache/frontlines/content/2006/02070601_2econtent/v1/Image/1/birdofparadise_5f200px.jpg[/img][/centre] <br />[centre][img]http://conservation.org/ImageCache/frontlines/content/2006/02070601_2econtent/v1/image/3/smokyhoneyeater_5f200px.jpg[/img][/centre] <br />[centre][g][#0000ff]« Zones sauvages majeures »[/#][/g][/centre] <br />Avec le bassin du Congo et l\'Amazonie, qui comprend la Guyane française, la Papouasie-Nouvelle-Guinée figure parmi les trois [i]« zones sauvages majeures »[/i] définies par CI. <br /> <br />[i]« Elle possède encore un couvert végétal supérieur à 75%, d\'où l\'intérêt de la préserver »[/i]. <br />Pour leur part, les 34 « [i]points chauds [/i]», également définis par CI, ont déjà perdu 75% de leur couvert végétal. <br /> <br />«[i] Il est rare de découvrir autant de nouveaux mammifères de nos jours [/i]», commente enfin Robert Barbaud, professeur au [i]Muséum[/i] (MNHN). <br />[g]Seulement 1,7 million d\'espèces sont nommées, alors que l\'on estime la biodiversité à environ 10 à 20 millions d\'espèces.[/g]'); "Citer ce message")
