| Dernières réponses | |  Commencez donc pas botter le c*l des entrepreneurs pourris qui brulent et arrachent des kilomètres carrés de forêt avec la protection illégale de leur gouvernement, avant d'envoyer des hélicos qui ne feront que regarder -_- |
| | Des hélicoptères télécommandés pour surveiller la forêt tropicale 
(Équateur)
Survoler les forêts tropicales avec des hélicoptères téléguidés permet d’évaluer les quantités de CO2 échangées par la végétation et la biodiversité locale. Une telle mesure pourrait, à terme, contribuer à protéger cette biosphère en danger.
La destruction de la forêt tropicale est l’une des premières sources d’émission de carbone. Elle est donc une cause importante du réchauffement climatique, et les grands de ce monde ont décidé de garder un œil sur la déforestation. Afin d’éviter que trop d’arbres ne soient abattus, ils renforcent la surveillance des espaces en danger.
Bien que l’observation par satellite des régions tropicales permette de contrôler 2 000 km² de forêts, elle ne donne qu’une vision imprécise de leur état. En revanche, l’utilisation d’hélicoptères, volant à basse altitude et équipés d’une caméra, rend possible l’identification des différentes espèces, animales et végétales, présentes sur le territoire.
Dans des zones où un seul hectare de forêt peut rassembler plus de 300 espèces d’arbres différentes, l’observation de la végétation tropicale par hélicoptère est un moyen efficace d’évaluer la diversité des espèces représentées. Le Dr. Peck, en charge de l’observation terrestre, a ainsi souligné l’utilité de ces hélicoptères dans l’établissement d’une carte d’identité des forêts, indispensable pour dresser des bilans d’absorption de carbone et pour protéger la biodiversité.
Ce procédé est déjà utilisé au nord-ouest de l’Équateur, dans le cadre du programme d’observation "Climate Change, Canopies and Wildlife", qui vise à limiter l’impact des changements climatiques dans la réserve de Santa Lucia.
(MaxiSciences - 17/04/09) |
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[/i] <br />[g]Survoler les forêts tropicales avec des hélicoptères téléguidés permet d’évaluer les quantités de CO2 échangées par la végétation et la biodiversité locale. Une telle mesure pourrait, à terme, contribuer à protéger cette biosphère en danger.[/g] <br /> <br />La destruction de la forêt tropicale est l’une des premières sources d’émission de carbone. Elle est donc une cause importante du réchauffement climatique, et les grands de ce monde ont décidé de garder un œil sur la déforestation. Afin d’éviter que trop d’arbres ne soient abattus, ils renforcent la surveillance des espaces en danger. <br /> <br />[g]Bien que l’observation par satellite des régions tropicales permette de contrôler 2 000 km² de forêts, elle ne donne qu’une vision imprécise de leur état. En revanche, l’utilisation d’hélicoptères, volant à basse altitude et équipés d’une caméra, rend possible l’identification des différentes espèces, animales et végétales, présentes sur le territoire.[/g] <br /> <br />Dans des zones où un seul hectare de forêt peut rassembler plus de 300 espèces d’arbres différentes, l’observation de la végétation tropicale par hélicoptère est un moyen efficace d’évaluer la diversité des espèces représentées. Le Dr. Peck, en charge de l’observation terrestre, a ainsi souligné l’utilité de ces hélicoptères dans l’établissement d’une carte d’identité des forêts, indispensable pour dresser des bilans d’absorption de carbone et pour protéger la biodiversité. <br /> <br />Ce procédé est déjà utilisé au nord-ouest de l’Équateur, dans le cadre du programme d’observation [i]"Climate Change, Canopies and Wildlife",[/i] qui vise à limiter l’impact des changements climatiques dans la réserve de Santa Lucia. <br /> <br />[i](MaxiSciences - 17/04/09)[/i]'); "Citer ce message")