Et puis on arrête pas de nous causer réchauffement de la planète en plus, ça va, quoi :o');"> Au passage, ça doit bien faire 2 ou 3 sujets qui passent en peu de temps sur des solutions "alternatives" pour chauffer des maisons ... c'est moi ou y'a une mode là-dessus ? Et puis on arrête pas de nous causer réchauffement de la planète en plus, ça va, quoi :o
Pierma
Constance a écrit :
Je pense que ce que Pierma veut dire, c'est qu'il est étonnant qu'ils survivent (en donc existent, ouais) aux températures qu'il fait là-bas...
Oui, c'est l'idée générale.
Je trouve que ce phénomène est improbable à des températures si basses. Aucun de nous ne survivrait - en dormant - à une seule nuit à l'extérieur lorsque le thermomètre descend en dessous de -20°C, ce qui n'est pas rare dans ces deux villes. Ou d'autres...
Même si certains utilisent des squats dans des immeubles condamnés, le taux de mortalité doit être effrayant.
Constance
Je pense que ce que Pierma veut dire, c'est qu'il est étonnant qu'ils survivent (en donc existent, ouais) aux températures qu'il fait là-bas...
ThunderLord
Heuuuu à Chicago je dis pas, mais à Moscou... Qu'il y fasse froid et que la pauvreté y soit présente et visible, c'est pas tellement étonnant
Pierma
ThunderLord a écrit :
(...) Et encore, nous on ne passe pas la nuit sur place, camouflé sous de vieux journaux.
Le fait qu'il existe des SDF dans des endroits comme Chicago ou Moscou m'a toujours paru terrifiant.
C'est déjà une réalité pénible en France, où des gens meurent de froid, mais dans des bleds pareils ça passe l'imagination.
ThunderLord
Oui, les correspondances dans le froid, c'est souvent (très souvent) pénible ; mais quand il fait -10° ça l'est encore plus.
Et encore, nous on ne passe pas la nuit sur place, camouflé sous de vieux journaux.
Pierma
+1 C'est assez choquant dans le principe. On rend la gare inhabitable, y compris pour ses usagers, pour repousser les SDF. Le résultat est un urbanisme "froid", qu'on a dû ensuite humaniser : ça ne ressemblait à rien.
Chacun a déjà connu l'expérience d'une correspondance de nuit, deux heures à passer dans une gare où il n'y a rien : c'est déjà assez pénible sans qu'on en rajoute sous prétexte de décourager les SDF.
On peut penser que les Suédois ne s'autorisent pas les gares anti-SDF, simplement parce que leur pays est trop froid pour laisser une gare ouverte à tous les vents.
Audrey
Comme quoi on pense à tout, dans ce monde si civilisé...