| Dernières réponses | |  Moi j'ai encore un peu de temps avant de penser à ça  |
| | C'est sûr qu'au premier, on ne sait pas où commencer la tonne de choses à apprendre et à faire. Mais je te rassure, Shoop : ça vient vite !  Et pour les suivants, on est rodés. |
| | Bon, de toute façon, je vais commencer avec des jetables toutes bêtes. Parce que je vais avoir suffisamment de choses à apprendre comme ça sans me rajouter 2000 lessives par semaine.
Mais quand je serai rôdée, voir ce qu'il y a de dispo côté couches en tissu, oui pourquoi pas  |
| | Pour les "couches jetables" actuelles, je n'en ai aucune idée.
Autrefois, elles étaient en tissu, (en coton épais pour être précise), et c'était du costaud ! La preuve : elles pouvaient être réutilisées d'un enfant à l'autre dans la famille sans problème. Autrement dit, c'était peut-être un investissement au départ, mais très rapidement amorti ! |
| | Si une couche lavable coute 3 fois plus chère qu'une couche jetable, il suffit de la réutiliser 3 fois pour rentabiliser.
Bon, OK, 30 parce qu'on se fait yech à la laver... |
| | +1, c'est le problème qu'on a avec la nourriture bio aussi tiens  |
| | Moi il me vient une question existentielle à la lecture de ce topic.
Ca coûte combien les couches lavables ?
Pis faut voir aussi combien de fois/pendant combien de temps elles sont utilisables.
Parce que c'est bien gentil l'écologie, mais si on doit payer 3 fois plus cher au final pour ne pas polluer... 
Edité le 25-10-2007 à 15:05:37 par shoop.
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| | | Comme quoi, "ça existait déjà avant"... |
| | Une Ardéchoise soucieuse d'écologie lance son entreprise de couches lavables 
Une jeune mère ardéchoise, Céline Rieu, s'est lancée dans la confection de couches lavables en montant son entreprise à Saint-Sauveur-de-Montagut, consciente de faire un geste pour l'environnement.
"J'ai toujours été très sensibilisée par l'écologie et lorsque j'ai eu ma fille, j'ai commencé à en fabriquer pour elle. J'ai acheté une machine à coudre, j'ai commencé toute seule et au fur et à mesure ma technique s'est affinée", a raconté la jeune femme de 25 ans, qui a monté sa société Natanature début 2007.
L'initiative de cette mère d'une fillette de 2 ans est partie d'un constat : un enfant consomme 820 kg de couches jetables en moyenne jusqu'à être propre. Celles-ci mettent des centaines d'années à se décomposer.
Les couches lavables sont recyclables et reviennent au final moins cher, selon Mme Rieu qui fabrique une dizaine de modèles à partir de coton et de chanvre biologiques.
Ces modèles sont composés d'une couche lavable, d'une lingette recyclable pour récupérer les selles et d'une culotte imperméable.
"Cela nous faisait peur de mettre 35 m3 de déchets dans la nature pour un enfant et on avait vraiment envie de faire un geste pour la nature", témoigne Katia, cliente de Natanature depuis la naissance de sa fille.
La part de marché des couches lavables reste encore infime en France contrairement aux pays anglo-saxons et d'Europe du Nord, beaucoup de parents les considérant comme une corvée, souligne néanmoins Mme Rieu.
(AFP - 24/10/07)
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En même temps, c'est pas nouveau, les couches lavables... Autrefois, on utilisait exclusivement des couches lavables (en tissu), et on ne s'en portait pas plus mal. Bien sûr, ça "oblige" à passer par la phase lavage, alors qu'aujourd'hui on choisit toujours la facilité du jetable... Mais il suffit de lire les chiffres pour comprendre où est le bon choix. |
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![](javascript:citer('Audrey', '[centre][g][#0000ff]Une Ardéchoise soucieuse d\'écologie lance son entreprise de couches lavables[/#][/g] <br /> <br />[img]http://img265.imageshack.us/img265/3240/bbzt0.jpg[/img][/centre] <br />[g]Une jeune mère ardéchoise, Céline Rieu, s\'est lancée dans la confection de couches lavables en montant son entreprise à Saint-Sauveur-de-Montagut, consciente de faire un geste pour l\'environnement.[/g] <br /> <br />[i]"J\'ai toujours été très sensibilisée par l\'écologie et lorsque j\'ai eu ma fille, j\'ai commencé à en fabriquer pour elle. J\'ai acheté une machine à coudre, j\'ai commencé toute seule et au fur et à mesure ma technique s\'est affinée",[/i] a raconté la jeune femme de 25 ans, qui a monté sa société [i]Natanature[/i] début 2007. <br /> <br />L\'initiative de cette mère d\'une fillette de 2 ans est partie d\'un constat : [g]un enfant consomme 820 kg de couches jetables en moyenne jusqu\'à être propre. Celles-ci mettent des centaines d\'années à se décomposer.[/g] <br /> <br />Les couches lavables sont recyclables et reviennent au final moins cher, selon Mme Rieu qui fabrique une dizaine de modèles à partir de coton et de chanvre biologiques. <br /> <br />Ces modèles sont composés d\'une couche lavable, d\'une lingette recyclable pour récupérer les selles et d\'une culotte imperméable. <br /> <br />[i]"Cela nous faisait peur de mettre 35 m3 de déchets dans la nature pour un enfant et on avait vraiment envie de faire un geste pour la nature",[/i] témoigne Katia, cliente de Natanature depuis la naissance de sa fille. <br /> <br />La part de marché des couches lavables reste encore infime en France contrairement aux pays anglo-saxons et d\'Europe du Nord, beaucoup de parents les considérant comme une corvée, souligne néanmoins Mme Rieu. <br /> <br />[i](AFP - 24/10/07)[/i] <br />[centre]-----------------------------------[/centre] <br />[#0000ff]En même temps, c\'est pas nouveau, les couches lavables... Autrefois, on utilisait exclusivement des couches lavables (en tissu), et on ne s\'en portait pas plus mal. Bien sûr, ça "oblige" à passer par la phase lavage, alors qu\'aujourd\'hui on choisit toujours la facilité du jetable... Mais il suffit de lire les chiffres pour comprendre où est le bon choix.[/#]'); "Citer ce message")