Le Petit Monde d'Audrey
 
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mecsympadu74
Rien à redire si ce n'est que comme vous je ne comprends pas comment elles ont pu s'en sortir aussi bien ! C'est quand même pas rien ce qu'elles ont fait... On croit rêver...
ThunderLord
Je ne peux qu'être d'accord avec vous deux : d'abord le sursis n'a pas lieu d'être, étant donné qu'il n'y a pas de doute raisonnable, et enfin, l'interdiction d'exercer aurait dû être, sinon définitive, au moins de 5 ans, disons, histoire de "marquer le coup". Parce qu'à ce train-là, le crime ne paie pas si mal :/
Audrey
Merci, Ouaille, pour le suivi de l'info.

Entièrement d'accord avec toi : ces condamnations sont totalement aberrantes ! A ce compte-là, ce n'était même pas la peine de les présenter au Tribunal : autant reconnaître d'entrée qu'elles peuvent recommencer à loisir !

Déjà la notion de sursis aurait dû disparaître, histoire de mettre un peu de réalité dans la "tronche" de ces femmes !

Ensuite, sachant qu'elles sont du métier, elles sont donc doublement coupables d'avoir fait absorber des substances nocives (en plus du reste des faits qui leur sont reprochés). Ce qui remet totalement en cause leur fiabilité en tant que soignantes.
A part de là, l'interdiction d'exercer leur métier devrait être transformée en interdiction définitive !!
Ouaille


Du nouveau:

Citation :


AVIGNON (AFP) - Trois infirmières et une aide-soignante de l'hôpital Henri-Duffaut d'Avignon ont été condamnées lundi par le tribunal correctionnel à des peines de prison allant jusqu'à deux ans avec sursis pour avoir harcelé leurs chefs de service et leur avoir administré une substance nuisible.

Vanessa Constant, infirmière, 31 ans, considérée comme la "meneuse", a été condamnée à deux ans de prison avec sursis et interdiction d'exercer son métier d'infirmière pendant 18 mois. Elle a été reconnue coupable de dégradation de matériel, appels malveillants, harcèlement et administration de susbstance nuisible.

Les deux autres infirmières ont été reconnues coupables des mêmes faits. Marie Sanchez, 29 ans, a été condamnée à un an avec sursis et une interdiction professionnelle de 8 mois, tandis que Laurence Claudon, 38 ans, a été condamnée à 15 mois de prison avec sursis et une interdiction professionnelle de 6 mois.

L'aide-soignante, Laurence Breuil, 37 ans, a été reconnue coupable de dégradation et condamnée à deux mois de prison avec sursis, sans interdiction d'exercer.

En outre, les deux chefs de services successivement victimes de harcèlement qui s'étaient portées partie civile ont obtenu pour l'une 750 euros de Mme Breuil au titre de dégradation et 3.000 euros solidairement des trois autres prévenues au titre des dommages et intérêts, tandis que l'autre a obtenu le versement de 8.000 euros par les trois infirmières solidairement.

L'hôpital, qui s'était également porté partie civile, a obtenu de chaque prévenue un euro.

A la sortie du procès, l'entourage des trois infirmières a insulté les deux chefs de service. Pour sa part, Mme Constant a indiqué qu'elle avait l'intention de faire appel.


C'est quoi ces condamnations a la noix!
Harceler ses chefs, droguez-les...
Audrey
Des infirmières harcelaient et droguaient leurs chefs à l'hôpital d'Avignon

Trois infirmières et une aide-soignante de l'hôpital Henri-Duffaut d'Avignon ont été mises en examen mercredi pour avoir harcelé et/ou versé des tranquillisants dans les boissons de leurs chefs de service.

Trois d'entre elles ont été mises en examen pour administration de substances nuisibles avec préméditation au préjudice de professionnels de santé, a-t-on précisé de source judiciaire. Toutes les quatre ont également été mises en examen pour harcèlement moral et appels téléphoniques malveillants.

Les quatre femmes ont été placées sous contrôle judiciaire. Elles sont convoquées devant le tribunal correctionnel le 30 avril.

Elles s'en prenaient à deux infirmières en chef dans un service de chirurgie thoracique à l'hôpital d'Avignon pour contester leur autorité et tenter de les pousser à la faute, ont indiqué les mêmes sources, confirmant des informations publiées par le Dauphiné Libéré dans son édition du Vaucluse.

Une plainte avait été déposée par la direction de l'hôpital après des dénonciations des agissements des quatre femmes durant les années 2002 et 2006.

Trois d'entre elles ont depuis quitté l'hôpital. La quatrième a été mutée dans un autre service.

(AFP - 04/04/07)
 
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