| Dernières réponses | |  sal***rie de monde (je ne sais pas combien de fois j'ai déjà dit ça)
excusez la grossièreté je vous prie. |
| | J'adore cette image! ^^
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| | Mouais ... ben ça fera un taré de moins, dommage qu'il ait eu le temps de faire des blessés et même pire ;(
Enfin, pour ceux qui ne l'auraient pas déjà vu sur le forum JudgeHype et afin de rigoler un peu ( si vous aimez l'humour noir ^^ ) :
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| | (AFP - 14/09/06)
FUSILLADE au College Dawson - Montréal
Un jeune homme qui a provoqué une fusillade à Montréal mercredi, tuant une jeune femme et faisant 19 blessés, affirmait sur son blog internet être "dégoûté" par la société et vouloir mourir jeune "sous une pluie de projectiles".
Le tireur, qui a été tué, est un Canadien d'origine indienne de 25 ans, Kimveer Gill, né à Montréal, selon des informations de la presse locale confirmées jeudi par la police.
"Vis vite, meurs jeune et laisse une dépouille mutilée" , proclame sa devise postée sur un site internet, sous la photo d'une pierre tombale.
Le Canada était encore sous le choc jeudi, les chaînes de télévision continuant à consacrer l'essentiel de leurs programmes à la fusillade au College Dawson, un établissement pré-universitaire anglophone de Montréal.
"Carnage et courage", clamait le gros titre barrant la une du grand quotidien anglophone The Globe and Mail, tandis que Le Devoir francophone titrait : "Terreur au centre-ville"
Six personnes étaient dans un état critique jeudi matin, et deux dans un état très critique, qui fait craindre pour leur vie, selon un responsable hospitalier.
Dans des photos prélevées sur un site internet et publiées par plusieurs journaux québécois, le jeune homme, coiffé à la mohawk et vêtu d'un manteau de cuir noir, apparaît brandissant tantôt un fusil semi-automatique tantôt un couteau de commando.
Sous une de ces photos figure une légende proclamant "ready for action" (prêt à l'action), indique le quotidien La Presse.
"Transforme ce maudit monde en cimetière. Ecrase tous ceux qui te barrent le chemin. Laisse un fleuve de sang sur ton chemin. Laisse un fleuve de sang dans ton sillage", écrivait-il dans son journal, selon La Presse. Il affirmait aussi : "la société me dégoûte".
Les drapeaux ont été mis en berne jeudi sur les bâtiments politiques du Québec au lendemain de la fusillade qui a provoqué la panique dans le centre-ville de Montréal et plongé dans la stupeur la province francophone, craignant de revivre une tragédie vieille de 17 ans.
En décembre 1989, un chômeur de 25 ans, Marc Lépine, voulant se venger des "féministes", avait ouvert le feu à l'Ecole polytechnique de Montréal, tuant 14 femmes avant de se tirer une balle dans la tête.
Les responsables et la presse soulignaient cependant que des leçons avaient été apprises depuis cette tuerie, et que l'intervention très rapide de la police a évité que la fusillade de mercredi ne soit beaucoup plus meurtrière.
"Nous avons tiré des leçons de Polytechnique et d'autres incidents ici et à l'étranger", a déclaré le directeur de la police de Montréal Yvan Delorme.
"Nous avons cerné rapidement le suspect et on a mis fin rapidement à ce carnage", a-t-il dit.
Le jeune homme a commencé à tirer dans la rue avant de pénétrer dans les locaux du College Dawson où il a continué à se servir de ses armes. Il en avait trois, selon la police.
"Nous avons essayé de lui parler (pour le dissuader de continuer), mais dans un deuxième temps les policiers ont fait feu", a déclaré le chef de la police.
La Presse raconte en se fondant sur des témoignages que, mercredi matin, Kimveer Gill a garé sa voiture à proximité du collège Dawson, vêtu de son manteau de cuir noir. Il a sorti de son coffre une carabine semi-automatique de 9 mm, un pistolet de calibre 45 et un fusil à pompe de calibre 12.
Vingt minutes plus tard, il trouvait la mort après avoir tué une jeune femme d'une vingtaine d'années et blessé 19 personnes. |
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