| Dernières réponses | |  Je ne suis pas certaine que le droit de grève soit réellement en application dans ce pays. 
Quoi qu'il en soit, relâcher des individus dans la nature, parce qu'on arrive au bout du délai légal de "garde à vue", parce qu'on n'est pas fichu de trouver un autre juge de remplacement (si le 1er est réellement au bout du rouleau), là c'est plus que navrant, c'est désespérant !! 
Ou alors, si l'on n'est pas fichu d'avoir un juge dans les délais, parce qu'on sait qu'il y a surcharge de leur côté ...et bien il faut modifier la loi pour prolonger la garde à vue, et prévoir l'embauche de juges supplémentaires !
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| | Je trouve surtout ça désolant qu'on en arrive là :/
Des types très probablement criminels, libérés pour une raison aussi puérile, franchement ~~
Y'a d'autres façons de se faire entendre que de foutre la m*rde.
Genre la grève à la rigueur. |
| | pas mal ^^
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Comment c'est fort ça! ^^
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| | (AFP - 14/09/06)
Afrique du Sud : juge fatiguée, prévenus libérés !
Une juge sud-africaine, fatiguée de travailler, a ordonné la libération de onze suspects qui avaient été arrêtés après plusieurs années de recherche.
Les prévenus, dont un violeur présumé, qui comparaissaient mercredi devant un tribunal de Kimberley (centre) ont été libérés par la juge Kubashni Padayachee, qui a refusé de siéger au-delà de la fin de sa journée de travail, a indiqué jeudi le journal The Star.
"Après être restée assise pendant six heures d'audience, j'ai faim, je suis fatiguée, mes pieds me font mal et j'ai soif. Je ne suis qu'un être humain, pas une machine, alors fichez-moi la paix !", a déclaré Mme Padayachee.
Elle a indiqué que les suspects, qui avaient été placés en détention pendant 48 heures, avaient le droit d'être libres, tout en critiquant le tribunal de surcharger son emploi du temps en n'enrôlant pas les affaires graves pour les audiences du matin.
Selon le journal, la police s'est remise à la recherche des suspects.
Le ministère de la Justice a réclamé des autorités de Kimberley un rapport officiel sur l'affaire, selon un porte-parole du département, Zolile Nqayi.
D'après lui, il arrive couramment que des juges dépassent de plusieurs heures leur journée normale de travail, en raison d'un rôle chargé. "Ils peuvent souvent travailler jusqu'à 22h00". |
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