| Dernières réponses | |  De toutes façons, "cacher ses mauvaises notes" ne rime à rien : tôt ou tard, ne serait-ce qu'à l'arrivée du bulletin, les parents sauront.
Alors autant qu'ils sachent au fur et à mesure. D'autant que si un "couac" est détecté suffisamment tôt dans une matière, les parents peuvent alors aider (soit eux-mêmes, soit en cherchant des personnes "capables de"), et on évite ainsi que la difficulté rencontrée dans la matière ne prenne de l'ampleur.
Je pense qu'il faut le voir comme un service rendu, et non comme "de l'espionnage".
Mais, logiquement, les parents ne devraient pas avoir à "chercher" les notes de leur enfant sur Internet :
dans l'idéal, après une journée de classe, l'enfant doit pouvoir parler à ses parents de la façon dont s'est déroulée sa propre journée, des notes qu'il a eu, des éventuelles difficultés rencontrées, etc.
Enfin... je suis peut-être d'une "ancienne génération"... mais, en tant que mère de famille, c'est ainsi que je vois les choses et qu'elles se déroulent chez moi.
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| | | Dans certaines familles, c'est vital pour l'enfant de cacher ses "mauvaises notes" (j'ai un pote dont les parents le punissaient dès qu'il avait une note inférieure à 15 ^^) |
| | Legolp a écrit :
oui, mais c'est embêtant pour les enfants ayant des parents bornés ... |
Comment ça ? J'ai du mal à comprendre le rapport...
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| | | oui, mais c'est embêtant pour les enfants ayant des parents bornés ... |
| | | Je trouve que c'est une bonne idée, ça permet aux parents de réagir tout de suite à la source du problème et non pas d'attendre la fin du trimestre pour comprendre la baisse de résultat, mais nous verrons à la longue si progrès il y aura... |
| | (AFP - 11/09/06)
Plus rapide que le bulletin trimestriel, les notes sur internet
Un lycée privé de Reims a indiqué lundi qu'il proposait aux parents de consulter en temps réel les notes de leurs enfants sur internet, ce que feraient déjà 17,4% des lycées publics en France selon l'Education nationale.
"On propose aux parents qui ont un ordinateur de récupérer les notes de leurs enfants chez eux. On leur donne alors un mot de passe qui leur permet à partir du site de l'établissement de pouvoir accéder aux notes de leurs enfants", explique Hubert Antoine, directeur de l'ensemble scolaire Saint-Michel.
Internet permet "d'être réactif par rapport aux mauvaises notes", ajoute le directeur, qui souligne que les parents prennent même parfois connaissance des résultats avant les élèves.
Les parents ne peuvent consulter que les notes de leurs enfants, précise-t-il : "Ils ont dans certains cas la moyenne de la classe pour comparer".
En place depuis 5 ans, la consultation des notes sur internet concerne 60% des quelque 2 000 élèves de l'établissement (collège et lycée), dans toutes les disciplines.
Internet ne sonne pas le glas du bon vieux bulletin trimestriel : "C'est une consultation. Le bulletin trimestriel est le document officiel qui fait foi".
A l'échelle nationale, dans le public, 17,4% des lycées et 9,4% des collèges déclarent mettre les notes des élèves sur internet, a indiqué à l'AFP le ministère de l'Education nationale, sur la foi d'une enquête nationale datant de juillet, et portant sur un panel de 500 collèges et autant de lycées (dont 200 professionnels).
"En ce moment, le ministère a un projet, en liaison avec la Caisse des dépôts et consignation, qui s'appelle Espace numérique de travail (ENT)", a expliqué à l'AFP Jean-François Pillou, de la sous-direction des nouvelles technologies au ministère de l'Education.
L'objectif est de fournir aux enseignants, aux élèves et aux parents plusieurs services (messagerie, le cahier de texte de la classe, les absences et les notes). |
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