[centre][g][#0000ff]Robien : entre 20 et 30 000 élèves en apprentissage à 14 ans à la rentrée[/#][/g][/centre]
[g]Le ministre de l\'Education nationale Gilles de Robien a évalué dimanche sur Europe 1 à [i]"peut-être 20 000, peut-être 30 000"[/i] le nombre de jeunes concernés dès la rentrée prochaine par l\'apprentissage à 14 ans, autrement appelé [i]"apprentissage junior"[/i].[/g]
[i]"Honnêtement aujourd\'hui je ne sais pas combien de jeunes"[/i] seront concernés dès la rentrée [i]"mais on peut imaginer que ça peut concerner peut-être 20 000, peut-être 30 000 jeunes, c\'est un ordre de grandeur auquel on croit parce que c\'est fortement attendu",[/i] a déclaré le ministre.
Il a rappelé le volontariat qui présidera à ce départ anticipé de l\'enseignement obligatoire : [i]"c\'est leur choix, avec les parents bien sûr et les enseignants",[/i] a-t-il affirmé. [i]"A 14 ans, ils feront des stages et à 15 ans, ils pourront signer un contrat d\'apprentissage, c\'est une voie d\'excellence qui mène à des emplois",[/i] a-t-il détaillé.
[i]"C\'est écrit dans le décret (d\'application), et toute la communauté pédagogique va continuer à suivre ces jeunes, si un jeune change d\'avis, il reviendra au collège puis au lycée et passera un bac traditionnel"[/i], a-t-il assuré.
Interrogé sur les réticences exprimées par les professionnels lors de l\'annonce de cette nouvelle forme d\'apprentissage, il a reconnu que c\'était [i]"un des soucis que nous avons"[/i]. [i]"Mais nous avons vraiment mobilisé les professionnels (...), certains ont changé d\'avis, d\'autres sont extrêmement positifs"[/i], a ajouté M. de Robien, en espérant qu\'"ils seront au rendez-vous"');"> (AFP - 21/05/06)
Le ministre de l'Education nationale Gilles de Robien a évalué dimanche sur Europe 1 à "peut-être 20 000, peut-être 30 000" le nombre de jeunes concernés dès la rentrée prochaine par l'apprentissage à 14 ans, autrement appelé "apprentissage junior" .
"Honnêtement aujourd'hui je ne sais pas combien de jeunes" seront concernés dès la rentrée "mais on peut imaginer que ça peut concerner peut-être 20 000, peut-être 30 000 jeunes, c'est un ordre de grandeur auquel on croit parce que c'est fortement attendu", a déclaré le ministre.
Il a rappelé le volontariat qui présidera à ce départ anticipé de l'enseignement obligatoire : "c'est leur choix, avec les parents bien sûr et les enseignants", a-t-il affirmé. "A 14 ans, ils feront des stages et à 15 ans, ils pourront signer un contrat d'apprentissage, c'est une voie d'excellence qui mène à des emplois", a-t-il détaillé.
"C'est écrit dans le décret (d'application), et toute la communauté pédagogique va continuer à suivre ces jeunes, si un jeune change d'avis, il reviendra au collège puis au lycée et passera un bac traditionnel" , a-t-il assuré.
Interrogé sur les réticences exprimées par les professionnels lors de l'annonce de cette nouvelle forme d'apprentissage, il a reconnu que c'était "un des soucis que nous avons" . "Mais nous avons vraiment mobilisé les professionnels (...), certains ont changé d'avis, d'autres sont extrêmement positifs" , a ajouté M. de Robien, en espérant qu'"ils seront au rendez-vous"