[g]L\'agence du médicament a annoncé un cas d\'interruption de grossesse in utero deux jours après une vaccination contre la grippe H1N1, mais "aucune donnée ne permet de relier ce cas à la vaccination".[/g]
Selon l\'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), la femme concernée était à 38 semaines d\'amenorrhée.
[i]"Elle avait des symptômes post-vaccinaux classiques",[/i] a dit Jean Marimbert directeur général de l\'Afssaps.
[i]"Deux jours après la vaccination, elle a eu de fortes contractions et les médecins se sont aperçu que le coeur du foetus ne battait plus",[/i] a expliqué M. Marimbert.
Il a souligné qu\'aucune "donnée ne permet à l\'heure actuelle de relier la vaccination à l\'avortement" et que des examens complémentaires sont en cours. Il a précisé que la personne concernée faisait partie du personnel de santé et qu\'elle avait reçu le vaccin avec adjuvant Pandemrix du laboratoire GlaxoSmithKline.
M. Marimbert a indiqué qu\'il y avait chaque année plus de 3.000 morts in utero avec de nombreuses causes possibles comme hypertension artérielle, infection ou diabète et que 30 % des cas restaient inexpliqués.
[i](AFP - 19/11/09)[/i]
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[#000080]Je ne cesse de le répéter : dans les vaccins sortis des labos depuis une dizaine d\'années, y\'en a bien plus à jeter qu\'à garder, et la méfiance s\'impose...
...et ils voudraient qu\'on aille tous le coeur léger se faire vacciner ? ben voyons ! :pff: [/#]');">
L'agence du médicament a annoncé un cas d'interruption de grossesse in utero deux jours après une vaccination contre la grippe H1N1, mais "aucune donnée ne permet de relier ce cas à la vaccination".
Selon l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), la femme concernée était à 38 semaines d'amenorrhée.
"Elle avait des symptômes post-vaccinaux classiques", a dit Jean Marimbert directeur général de l'Afssaps.
"Deux jours après la vaccination, elle a eu de fortes contractions et les médecins se sont aperçu que le coeur du foetus ne battait plus", a expliqué M. Marimbert.
Il a souligné qu'aucune "donnée ne permet à l'heure actuelle de relier la vaccination à l'avortement" et que des examens complémentaires sont en cours. Il a précisé que la personne concernée faisait partie du personnel de santé et qu'elle avait reçu le vaccin avec adjuvant Pandemrix du laboratoire GlaxoSmithKline.
M. Marimbert a indiqué qu'il y avait chaque année plus de 3.000 morts in utero avec de nombreuses causes possibles comme hypertension artérielle, infection ou diabète et que 30 % des cas restaient inexpliqués.
(AFP - 19/11/09)
Je ne cesse de le répéter : dans les vaccins sortis des labos depuis une dizaine d'années, y'en a bien plus à jeter qu'à garder, et la méfiance s'impose...
...et ils voudraient qu'on aille tous le coeur léger se faire vacciner ? ben voyons !