[g]Les journalistes chargés de participer à une conférence de presse téléphonique de la Maison Blanche sur les préparatifs du sommet de l\'Otan à Strasbourg ont eu une surprise jeudi : ils se sont retrouvés sur une ligne de téléphone rose.[/g] :fonsde:
[i]"Tu as des désirs cachés",[/i] leur a demandé une femme d\'une voix langoureuse. [i]"Laisse parler le cochon en toi, tu es là où il faut : chez les filles du magazine Swank".[/i]
La Maison Blanche n\'a pas expliqué comment un numéro vert erroné a pu être donné aux journalistes désireux de poser des questions à la secrétaire d\'Etat américaine, Hillary Clinton, et au conseiller à la sécurité nationale du président Barack Obama, le général James Jones, qui se trouvaient à Londres pour le sommet du G20.
[i]"On a beaucoup de dossiers importants à traiter aujourd\'hui !",[/i] a répondu par courrier électronique un porte-parole de la présidence américaine, Thomas Vietor, interrogé par l\'AFP sur cette erreur. [i]"Je n\'ai pas fait le numéro que vous mentionnez",[/i] a-t-il ajouté. [i]"Veuillez appeler les numéros de ce genre en dehors de vos heures de travail".[/i]
Les journalistes ont finalement réussi à joindre Mme Clinton et le général Jones en composant le numéro payant qui leur avait également été communiqué.
[i](AFP - 03/04/09)[/i] [centre]-----------------------------------[/centre] [#000080]J\'en connais qui ont du se faire taper sur les doigts...[/#]');">
Maison Blanche ? Non, Maison Rose
Les journalistes chargés de participer à une conférence de presse téléphonique de la Maison Blanche sur les préparatifs du sommet de l'Otan à Strasbourg ont eu une surprise jeudi : ils se sont retrouvés sur une ligne de téléphone rose.
"Tu as des désirs cachés", leur a demandé une femme d'une voix langoureuse. "Laisse parler le cochon en toi, tu es là où il faut : chez les filles du magazine Swank".
La Maison Blanche n'a pas expliqué comment un numéro vert erroné a pu être donné aux journalistes désireux de poser des questions à la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, et au conseiller à la sécurité nationale du président Barack Obama, le général James Jones, qui se trouvaient à Londres pour le sommet du G20.
"On a beaucoup de dossiers importants à traiter aujourd'hui !", a répondu par courrier électronique un porte-parole de la présidence américaine, Thomas Vietor, interrogé par l'AFP sur cette erreur. "Je n'ai pas fait le numéro que vous mentionnez", a-t-il ajouté. "Veuillez appeler les numéros de ce genre en dehors de vos heures de travail".
Les journalistes ont finalement réussi à joindre Mme Clinton et le général Jones en composant le numéro payant qui leur avait également été communiqué.
(AFP - 03/04/09)
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J'en connais qui ont du se faire taper sur les doigts...