194.275 euros à débourser[/#][/g][/centre]
[g]Un homme condamné en juillet à six mois de prison avec sursis pour avoir versé de l\'acide chlorhydrique dans des parcmètres de Mulhouse (Haut-Rhin), a été condamné à verser à la ville 194.257 d\'euros de dommages et intérêts, a-t-on appris dimanche auprès de son avocat.[/g]
[i]"Il a fait appel de cette dernière décision intervenue il y a quelques jours",[/i] a indiqué Me Olivier Peter qui a confirmé le montant de la somme réclamée.
Ancien cadre bancaire, l\'homme, âgé de 47 ans, se déplaçait à vélo, muni de burettes d\'acide. Confondu par plusieurs bandes de vidéo-surveillance, il avait été interpellé le 28 mars 2008.
Jugé en comparution immédiate, le "tueur d\'horodateurs" avait expliqué avoir agi ainsi après l\'extension de la zone de stationnement payant à sa rue.
Il avait précisé n\'avoir vandalisé "qu\'une dizaine" d\'appareils et avoir été surpris que l\'acide chlorhydrique "peut faire autant de dégâts".
Son avocat avait évoqué à l\'audience pénale un homme "à côté de ses pompes" soulignant que son client n\'était pas "un José Bové des horodateurs".
Lors de son procès il avait été condamné à rembourser la ville, le montant lui ayant été notifié dans le jugement sur intérêts civils rendu la semaine écoulée.
[i](AFP - 15/02/09)[/i]');">
194.275 euros à débourser
Un homme condamné en juillet à six mois de prison avec sursis pour avoir versé de l'acide chlorhydrique dans des parcmètres de Mulhouse (Haut-Rhin), a été condamné à verser à la ville 194.257 d'euros de dommages et intérêts, a-t-on appris dimanche auprès de son avocat.
"Il a fait appel de cette dernière décision intervenue il y a quelques jours", a indiqué Me Olivier Peter qui a confirmé le montant de la somme réclamée.
Ancien cadre bancaire, l'homme, âgé de 47 ans, se déplaçait à vélo, muni de burettes d'acide. Confondu par plusieurs bandes de vidéo-surveillance, il avait été interpellé le 28 mars 2008.
Jugé en comparution immédiate, le "tueur d'horodateurs" avait expliqué avoir agi ainsi après l'extension de la zone de stationnement payant à sa rue.
Il avait précisé n'avoir vandalisé "qu'une dizaine" d'appareils et avoir été surpris que l'acide chlorhydrique "peut faire autant de dégâts".
Son avocat avait évoqué à l'audience pénale un homme "à côté de ses pompes" soulignant que son client n'était pas "un José Bové des horodateurs".
Lors de son procès il avait été condamné à rembourser la ville, le montant lui ayant été notifié dans le jugement sur intérêts civils rendu la semaine écoulée.
(AFP - 15/02/09)