Sujet :

ECO-IMPRIMANTES

Audrey
   Posté le 01-03-2007 à 14:35:31   

Eco-imprimantes

Les fabricants d'imprimantes de bureau réfléchissent au moyen d'énonomiser le papier (nous consommons, en moyenne, 20 000 pages par an et par personne).

Le japonais TOSHIBA présente la B-SX8R, qui efface et réimprime 500 fois la même feuille.

Son secret : un papier en plastique, enduit d'un pigment sensible à la chaleur.
Porté à 180°C, il vire au noir, ce qui permet d'imprimer le texte. Chauffé à nouveau, mais entre 130°C et 170°C, il redevient blanc.
Une vidéo de démonstration du concept est accessible ici.
Disponible exclusivement au Japon (moyennant 7400 € environ. Les feuilles, elles, coûtent 7,4 € chacune), cette imprimante pourrait parvenir en Europe prochainement.


L'américain XEROX, lui, teste une encre qui s'efface au bout de 16 heures.
Constance
   Posté le 01-03-2007 à 17:38:37   

Hmm j'avais entendu parler y'a un bon moment déjà (genre entre 2 et 5 ans, disons ) d'un truc qui permettait de dissocier l'encre du papier, pour récupérer du papier (du vrai hein ) blanc d'un côté et de l'encre de l'autre ... ça avait l'air sympa aussi, mais j'en ai pas vraiment entendu parler par la suite :/

Ça avait l'air sympa pourtant. Sans doute que l'inventeur n'a pas pu obtenir de crédits pour la fabrication en quantité / commercialisation... enfin bref, ça me paraissait mieux que cette histoire de "papier" spécial en plastique (qui doit quand même coûter plus cher, sans être compatible avec les imprimantes normales etc...)

Message édité le 01-03-2007 à 17:39:24 par Constance
Audrey
   Posté le 01-03-2007 à 20:29:10   

Constance a écrit :

Hmm j'avais entendu parler y'a un bon moment déjà (genre entre 2 et 5 ans, disons ) d'un truc qui permettait de dissocier l'encre du papier, pour récupérer du papier (du vrai hein ) blanc d'un côté et de l'encre de l'autre ... ça avait l'air sympa aussi, mais j'en ai pas vraiment entendu parler par la suite :/
Ça avait l'air sympa pourtant. Sans doute que l'inventeur n'a pas pu obtenir de crédits pour la fabrication en quantité / commercialisation...

Pas mal comme concept, effectivement. Dommage qu'on n'ait pas la fin de l'histoire.