Le Petit Monde d'Audrey
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Audrey
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Audrey
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   Posté le 19-09-2006 à 10:12:40   Voir le profil de Audrey (Offline)   Répondre à ce message   http://lepetitmondedaudrey.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Audrey   

Sorties en salle ce mercredi 20 septembre

"World Trade Center"

D'Oliver Stone (Etats-Unis, 2H15). Avec Nicolas Cage, Michael Pena, Jay Hernandez, Armando Riesco, Maria Bello.
S'inspirant d'une histoire vraie, Stone raconte le miraculeux sauvetage de deux policiers de l'Autorité portuaire de New York, pris au piège le 11 septembre 2001 dans les décombres des tours jumelles. D'abord inconscients de la gravité de la situation, ces héros ordinaires décident de porter secours aux victimes au péril de leur vie. Dans cette fiction au pathos appuyé, Oliver Stone, pourtant adepte des sujets politiques (Platoon, JFK), fait l'impasse sur la dimension géopolitique d'un événement marquant pour l'inconscient collectif américain et mondial. La sortie du film coïncide avec le 5e anniversaire des attentats les plus meurtriers jamais perpétrés aux Etats-Unis (3 000 morts), où ils ont été commémorés avec émotion. Certains ont reproché à Stone d'aborder un sujet encore trop sensible pour l'opinion américaine. Sorti le 9 août aux Etats-Unis, le film a rapporté 60 millions de dollars de recettes en trois semaines, soit autant qu'il a coûté.

"Twelve and holding"

De Michael Cuesta(Etats-Unis, 1H34). Avec Conor Donovan, Zoe Weizenbaum, Jesse Camacho, Linus Roache, Anabella Sciorra.
Dans une banlieue américaine, trois copains de douze ans, le timide Jacob, la précoce Malee et le sensible Leonard, sont bouleversés par la mort accidentelle du frère jumeau de Jacob. Désir de vengeance, chagrin et premiers émois amoureux se mêlent dans leurs coeurs d'enfants aux portes de l'adolescence, sous les yeux de parents eux-mêmes en détresse. Très apprécié au festival du cinéma américain de Deauville, ce deuxième long métrage de Cuesta porte un regard intelligent, fin et subtil sur trois adultes en devenir, sans angélisme ni outrance. Le premier film de Michael Cuesta, "L.I.E.", très remarqué, avait remporté le prix du jury à Deauville en 2002. "A Hollywood, une règle dit qu'il ne faut pas faire de films avec des enfants car personne n'ira les voir. Et si on en fait, il faut une morale claire, où tout est noir ou blanc. J'ai voulu m'intéresser aux zones grises", a déclaré à Deauville le réalisateur de 43 ans.

"Sarajevo, mon amour"

De Jasmila Zbanic (Bosnie Herzégovine, 1H30). Avec Mirjana Karanovic, Luna Mijovic, Leon Lucev, Kenan Catic.
Ce poignant portrait d'une femme violée pendant la guerre de Bosnie, premier long métrage d'une cinéaste de 31 ans, a reçu l'Ours d'or du meilleur film au festival de cinéma de Berlin. Esma, mère célibataire, vit avec Sara, sa fille de douze ans, dans le Sarajevo de l'après-guerre. Leurs rapports sont tendus, d'autant plus que Sara ignore qu'elle est le fruit d'un viol par un Serbe dont sa mère fut victime dix ans plus tôt dans un camp d'internement. Loin d'imaginer la terrible réalité, Sara croit qu'elle est la fille d'un combattant bosniaque mort au front en héros. Esma est magistralement incarnée par Mirjana Karanovic, pour qui ce film "est une ouverture pour continuer à vivre avec cette terrible vérité sur ce que les gens se sont faits dans cette région, en Bosnie, mais aussi dans tous les pays de l'ex-Yougoslavie". Deux criminels de guerre, l'ex-chef militaire des Serbes de Bosnie Ratko Mladic et l'ex-leader politique des Serbes de Bosnie Radovan Karadzic ont "organisé le viol de 20 000 femmes en Bosnie, tué 100 000 personnes et chassé de leurs foyers un million de personnes", avait rappelé Jasmila Zbanic en recevant son prix à Berlin en février.

"Président"

De Lionel Delplanque (France, 1H37). Avec Albert Dupontel, Mélanie Doutey, Jérémie Rénier, Claude Rich.
Un jeune président de la République charismatique, engagé en faveur de la justice et de la paix, n'a qu'un amour dans la vie : sa fille Nahema. Celle-ci rencontre Mathieu, qui accède bientôt à des fonctions importantes et à des informations qui pourraient bien ruiner la carrière du président. Pour composer ce personnage, Lionel Delplanque s'est inspiré à la fois du général Charles de Gaulle, de Valéry Giscard d'Estaing et de François Mitterrand. Au premier, il a emprunté les accents du célèbre discours de la libération de Paris, et au second son leitmotiv, "Vous n'êtes pas le meilleur, vous êtes le seul", censé galvaniser les jeunes loups qui l'entouraient. De François Mitterrand, il a conservé la réprobation des anglicismes.

"L'accordeur de tremblements de terre"

De Stephen et Timothy Quay (Grande-Bretagne, Allemagne, France, 1H39). Avec Amira Casar, Assumpta Serna, Gottfried John, Cesar Sarachu.
Un neurologue amoureux fou d'une cantatrice décide de s'unir à elle à tout jamais. Ayant découvert le secret de la résurrection, il tue la belle et la plonge dans un état de mort apparente. Un accordeur de pianos venu réviser les automates qu'il possède dans une propriété isolée au bord de l'océan découvre la jeune femme et se jure de la sauver. Librement adapté du roman d'Adolfo Bioy Casares "L'invention de Morel", le film s'inspire aussi du "Château des Carpates" de Jules Verne, où un baron, obsédé par une cantatrice célèbre, l'enlève et l'emmène dans les Carpates.

"Les aristos"

De Charlotte de Turckheim (France, 1H43). Avec Charlotte de Turckheim, Jacques Weber, Catherine Jacob, Armelle Lesniak, Rudi Rosenberg, Victoria Abril, Rossy de Palma.
Panique chez les héritiers du château de Neuville, auxquels le fisc réclame la bagatelle de 2 millions d'euros. Les aristocrates désargentés vont-ils fuir à l'étranger, changer de nom ou étaler leur dette sur 271 ans ? La réponse dans ce deuxième long-métrage d'une comédienne elle-même issue d'une famille de nobles alsaciens protestants.

"Chacun sa nuit"

De Pascal Arnold et Jean-Marc Barr(France, 1H35) (Interdit aux moins de douze ans). Avec Lizzie Brocheré, Valérie Mairesse, Jean-Christophe Bouvet et Pierre Perrier.
Le corps d'un jeune garçon mal dans sa peau, chef de bande admiré par ses potes, est retrouvé, battu à mort. Alors que la police piétine, sa soeur mène sa propre enquête, aidée par la bande de copains de son frère.

"L'héritage"

De Gela et Temur Babluani (France, Géorgie, 1H30). Avec Sylvie Testud, Stanislas Mehrar, Pascal Bongard, Olga Legrand.
Jean, Céline et Pat partent à Tbilissi prendre possession d'un héritage. Dans le bus qui les conduit vers la montagne, ils rencontrent un vieillard et son petit-fils qui transportent un cercueil vide. Ceux-ci se rendent chez le clan ennemi, dont le grand-père doit être sacrifié pour que cessent les rivalités entre les deux familles.

"Kebab connection"

D'Anno Saul (Allemagne, 1H36). Avec Nora Tschirner, Denis Moschitto, Güven Kiraç.
Ibo, jeune Turc de Hambourg amateur de Bruce Lee, veut tourner le premier film de kung-fu allemand. Inexpérimenté, il débute avec un spot publicitaire pour le fast-food de son oncle Ahmet. Le succès de ce film publicitaire est tel que le "King of Kebab" est plein à craquer, et Ibo est fêté comme un nouveau Steven Spielberg.

"Melissa P"

De Luca Guadagnino(Italie, 1H40) (Interdit aux moins de douze ans). Avec Maria Valverde, Geraldine Chaplin, Fabrizia Sacchi, Primo Reggiani.
L'éveil sexuel d'une jeune Sicilienne aux goûts décadents et aux pulsions autodestructrices. Entraînée dans une spirale de doutes, de souffrances et de déceptions amoureuses, elle voit sa vie bouleversée par un événement tragique.

"La méthode"

De Marcelo Pineyro (Espagne, 1H55). Avec Eduardo Noriega, Najwa Nimri, Eduard Fernandez.
Le calvaire de sept candidats à un emploi dans une entreprise multinationale, soumis à une batterie de tests psychologiques. Méfiants, ils font connaissance tout en se surveillant mutuellement, cherchant l'oeil des caméras et un éventuel psychologue infiltré pour les éliminer...

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Eisenheit
Death Bride
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Eisenheit
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   Posté le 19-09-2006 à 10:51:53   Voir le profil de Eisenheit (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Eisenheit   

Melissa P m'intéresse grandement, je vais me renseigner plus dessus...


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N'est pas mort ce qui a jamais dort,
Mais au fil des ères peut mourir même la Mort.
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