Le Petit Monde d'Audrey
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 Sorties en salle ce 14 juin

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Audrey
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Audrey
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   Posté le 13-06-2006 à 00:57:50   Voir le profil de Audrey (Offline)   Répondre à ce message   http://lepetitmondedaudrey.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Audrey   

Sorties en salle ce mercredi 14 juin

"Aquamarine"

De Elizabeth Allen (USA - 1H43). Avec Sara Paxton, Emma Roberts, JoJo...
A la suite d'un orage, deux adolescentes, Claire (Emma Roberts) et Hailey (JoJo) se réfugient dans un club de plage en ruine et y découvrent Aquamarine (Sara Paxton), une sirène qui s'est échouée dans la piscine. Aquamarine s'est enfuie de chez elle pour échapper à un mariage forcé et doit prouver à son père que le grand amour existe pour être libérée. Mais elle n'a que trois jours pour y parvenir. Ses nouvelles amies vont tout faire pour l'aider à conquérir le coeur du maître-nageur du Club... Une comédie rose bonbon pour jeunes ados.

"Avril"

De Gérald Hustache-Mathieu (France - 1h36). Avec Sophie Quinton, Clément Sibony, Nicolas Duvauchelle, Richaud Valls, Miou-Miou.
Alors qu'elle s'apprête à prononcer ses voeux perpétuels, Avril, une jeune novice élevée dans un couvent, apprend qu'elle a un frère jumeau avec lequel elle a été abandonnée à la naissance. Elle part à sa recherche et le retrouve en Camargue, où elle passe deux semaines de vacances sur une plage avec lui et deux autres garçons.
remier long-métrage de Gérald Hustache-Mathieu, "Avril", qui est l'histoire d'un éveil à la vie, a pour héroïne principale Sophie Quinton, déjà interprète d'une jeune nonne dans le deuxième court-métrage du réalisateur, "La chatte andalouse".

"Bashing"

De Masahiro Kobayashi (Japon- 1H22).
Les otages ne sont pas tous bien accueillis à leur retour à la maison comme le montre ce film, dont le titre signifie "Harcèlement", en compétition l'an dernier à Cannes.
Le retour au Japon de Yuko, ex-otage en Irak, tourne vite au calvaire : toute la société japonaise semble s'être liguée contre elle après avoir été embarrassée et consternée par l'attention internationale dont Yuko a été l'objet. Elle subit des insultes dans la rue, des coups de téléphone anonymes et même des violences physiques et finalement est licenciée de son poste.
Le film, présenté comme une fiction, s'inspire de l'histoire bien réelle des trois premiers otages japonais rentrés chez eux en avril 2004. "Le harcèlement d'otages est un sujet tabou au Japon", racontait à Cannes le réalisateur qui n'avait alors pas trouvé de distributeur pour son film dans son pays.

"Cars, quatre roues"

De John Lasseter (USA - 2h00).
Flash McQueen, jeune bolide impétueux obsédé par la gloire, se retrouve, à la suite d'un incident de parcours, perdu au milieu du désert, dans la tranquille bourgade de Radiator Springs, sur la route 66. Le fier et condescendant Flash va découvrir, auprès des singuliers habitants de Radiator Springs, l'art de goûter aux plaisirs simples de la vie, ainsi que les vertus de la solidarité et de l'amitié...
Après les jouets, les insectes, les monstres, les poissons et les super-héros, les studios d'animation numérique Pixar ("Toy Story", "1001 Pattes", "Monstres & Cie", "Le Monde de Nemo", "Les indestructibles" ) mobilisent de nouvelles technologies pour donner vie à des héros de métal très humains dans un univers qui allie émotion, poésie et humour.

"Dans la tête d'un champion - Le Tour de France en Imax"

De Bayley Silleck (USA - 40 mn).
Ce documentaire, réalisé en Imax et sponsorisé par National Geographic résume les 3 semaines et les 3 500 km de la course et surtout essaie de définir comment on devient un champion. Quelque 60 techniciens ont travaillé sur le tournage, utilisant toute la panoplie des grues, hélicoptères et motos. Le fil conducteur de l'histoire est un petit garçon de 6 ans qui apprend à faire du vélo et à qui son père raconte des étapes du Tour pour le pousser à se surpasser. (Ce film est présenté en une seule copie, à la Géode de la Cité des Sciences)

"Neil Young : Heart of gold"

De Jonathan Demme (Etats-Unis - 1H43). Avec Neil Young, Emmylou Harris, Spooner Oldham.
Documentaire - Ce documentaire sur Neil Young réalisé par Jonathan Demme ("Le silence des agneaux" ) a été filmé lors de concerts donnés par le "Loner" canadien les 18 et 19 août derniers dans la salle du Ryman Auditorium à Nashville (Tennessee, sud-est des Etats-Unis). Après son départ du Buffalo Springfield en 1968, Neil Young, 60 ans, est devenu l'un des "songwriters" les plus importants de sa génération. Il a influencé nombre de groupes de rock ces dernières années, dont le mouvement grunge, emmené par Nirvana, au début des années 1990, et navigant durant sa carrière entre rock électrique et country-folk bucolique. Le film aurait dû initialement s'intituler "Prairie wind", du nom de l'avant-dernier album de Young, paru en septembre, mais a finalement pour titre "Heart of gold", comme l'une des chansons les plus connues du Canadien, tirée de son album culte "Harvest" (1972). Neil Young a sorti en mai son nouvel album, "Living with war", une charge contre la guerre en Irak et la politique du président américain George W. Bush.

"Irak, le chant des absents"

De Layth Abdulamir (France - 1H30)
Ce documentaire, présenté comme un road movie, retrace l'histoire de l'Irak, berceau de la civilisation devenu zone de guerre. Des marais du sud, où se trouvait la Mésopotamie, aux palmeraies de Bassorah, le réalisateur donne la parole aux tribus nomades, aux soldats, témoignant autant de l'Irak millénaire, de sa culture et de son actuel bouleversement. Le réalisateur, né en Irak, a quitté son pays il y a 28 ans et travaille comme réalisateur pour la chaine Dubai TV.

"Les Irréductibles"

De Renaud Bertrand (1h45 - France). Avec Jacques Gamblin, Kad Merad, Anne Brochet, Rufus, Hélène Vincent.
Alors que l'épreuve de philo a donné lundi le coup d'envoi du baccalauréat 2006 pour des milliers de jeunes Français, "Les Irréductibles" met en scène deux quadras, Michel et Gérard (Jacques Gamblin et le comique Kad), qui retournent sur les bancs du lycée pour décrocher ce diplôme qu'ils n'ont jamais eu et sans lequel il leur est difficile de trouver un emploi. Leur démarche et la cohabitation avec les jeunes candidats au bac (dont le fils de Michel) leur vaudra incompréhension et moqueries.

"Kamikaze girls" ("Shimotsuma Monogatari" )

De Tetsuya Nakashima (Japon - 1H42).
Cette comédie est la rencontre bien improbable entre la jeune Momoko, qui aime les frous-frous et la broderie, et Ichiko, "cheffe" d'un gang de filles en scooters, grossière et violente. Bien entendu, elles vont se lier d'amitié et partager leurs petits secrets et leurs craintes de rentrer dans l'age adulte.

"On va s'aimer"

De Ivan Calberac (France - 1h50).
Clin d'oeil au tube de Gilbert Montagné, "On va s'aimer" est un vaudeville sur l'amitié, l'amour, le sexe et surtout l'adultère avec Alexandra Lamy et Julien Boisselier, dans les principaux rôles. Marié, Laurent mène une vie trop calme avec Camille. Un soir, il tombe sous le charme d'une inconnue qui se révèle être la compagne de son meilleur ami, François. Mélanie Doutey et Patrick Chesnais, dans le rôle de l'incontournable détective privé, complètent l'affiche. "On va s'aimer" est l’adaptation d’un film espagnol "El otro Lado de la cama" réalisé par Emilio Martinez Lazaro.

"Poséidon"

De Wolfgang Petersen (USA - 1H38).
En pleine mer et en pleine nuit de la Saint Sylvestre, une énorme déferlante s'écrase sur un paquebot de luxe. Un petit groupe de passagers s'organise pour échapper au naufrage. Non ce n'est pas une nouvelle version du Titanic, ni tout à fait un remake du film de Ronald Neame "L'aventure du Poséidon" (1972). Mais c'est bien un film catastrophe, où les scènes choc alternent avec les portraits des divers protagonistes. Le spectateur est emporté dans l'histoire même si elle est un peu convenue.

"Ultraviolet"

De Kurt Zimmer (USA - 1H22).
Ce film, assure le réalisateur-scénariste, est inspiré de "Gloria", le grand classique de John Cassavetes, qui raconte les efforts d'une femme et de son enfant pour échapper à la Mafia. Mais l'histoire est transposée dans un univers BD et science-fiction et repose sur les pouvoirs surnaturels de l'héroïne (interprétée par Milla Jovovitch) et les effets spéciaux.

Reprises : "Le grand sommeil" ("the big sleep" ) d'Howard Hawks (USA - 1H54) avec Humphrey Bogart et Lauren Bacall en copie restaurée.

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Eisenheit
Death Bride
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Eisenheit
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   Posté le 19-06-2006 à 19:07:52   Voir le profil de Eisenheit (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Eisenheit   

Kamikaze Girls et Bashing sont à surveiller de près : ils sont réputés très bons!


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N'est pas mort ce qui a jamais dort,
Mais au fil des ères peut mourir même la Mort.
Simulacre
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Simulacre
928 messages postés
   Posté le 20-06-2006 à 22:39:07   Voir le profil de Simulacre (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Simulacre   

Ayant un creux dans mon emploi du temps au moment de la séance, je suis allée voir Ultraviolet.
Oui... bah nan, en fait... pas terrible.
Des effets spéciaux à chaque plan, 90% de temps de combats et 10% de dialogues / d'histoire, dont celle-ci a déjà été exploité sous toutes les coutures.


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Allo soeurette ? Es-tu habituée aux plans looses ? Ne me demandes pas pourquoi, mais je suis enfermé avec Wayne à clef chez moi. ThunderLord
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