Le Petit Monde d'Audrey
 
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Arielle
Tiens, j'ai eu à peu près la même opinion en sortant du ciné, à croire que je ne suis pas la seule à l'avoir trouvé franchement passable, bien que Nicholas Cage a tout de même assez bien joué !
Mais il y a tout de même de ces longueurs dans le film !
Simulacre
Je n'ai eu le temps que pour "Ghost Rider", à prendre avec énormement d'humour et très très à la légère, mais sympathique tout de même.
Maelle
Je suis allée voir "Je crois que je l'aime", j'ai trouvé ça très sympa et drôle. Un bon moment.
Audrey
J'ai pu voir la bande annonce de "Ghost Rider" et, effectivement, ça donne envie !
Simulacre
"Lettres d'Iwo Jima" me semble très intéressant, mais j'irai également voir "Ghost Rider", pour le fun.
Audrey
Sorties en salle ce mercredi 21 février

"Scorpion"

De Julien Seri (France, 1H38. interdit aux moins de 12 ans). Avec Clovis Cornillac, Francis Renaud, Karole Rocher.
Angelo ne vit que pour la boxe Thaï. Écarté injustement des championnats, il tue accidentellement le challenger dans un combat de rue. A sa sortie après six ans de prison, c'est une épave. Mais par amour, il va accepter de participer à des combats clandestins de "Free Fight". Il va changer, devenir un autre, une machine à prendre des coups, à vaincre.

"Danse avec lui"

De Valérie Guignabodet (France, 1H58). Avec Mathilde Seigner, Sami Frey, Jean-François Pignon.
Trois ans après une rupture dramatique qui a bouleversé son existence, Alexandra (Mathilde Seigner) réapprend à vivre et à aimer grâce à la rencontre troublante d’un vieil écuyer (Sami Frey) et de son cheval. Avec lui, elle va transcender sa peur et se remettre en selle, découvrir un autre rapport aux chevaux, aux hommes, réapprendre à vivre, autrement. Avec elle, il va découvrir le besoin de transmettre, le plaisir de donner, le bonheur d'aimer.

"Je crois que je l'aime"

De Pierre Jolivet (France, 1H30). Avec Vincent Lindon, Sandrine Bonnaire, François Berléand, Liane Foly.
Lucas, un riche industriel de 43 ans, célibataire, sort tout juste d'un terrible chagrin d'amour. Il rencontre alors Elsa, une jolie céramiste réputée de 38 ans à qui il a commandé une fresque pour décorer le hall de son entreprise. Irrésistiblement attiré par la jeune femme, Lucas va tenter de la conquérir. Mais s'il est très habile en affaires, il n'est pas du tout sûr de lui en amour. Il va donc charger le détective privé de sa société, Roland Christin, de découvrir pour quelles raisons étranges cette jolie femme est encore célibataire, en mettant les méthodes d'investigation les plus modernes au service d'un sentiment ancestral : l'amour.

"Lettres d'Iwo Jima"

De Clint Eastwood (USA, 2H19. Avertissement publics sensibles). Avec Ken Watanabe, Kazunari Ninomiya, Shido Nakamura.
Avec ce film, parmi les favoris aux Oscars, Clint Eastwood dénonce l'absurdité de la guerre. Ces "Lettres d'Iwo Jima" sont le récit de la bataille de 1945 vue du côté japonais. Nourri par une réflexion pacifiste, ce film constitue le deuxième volet d'un diptyque entamé avec "Mémoires de nos pères" (Flags of our fathers). Tous deux racontent la même bataille sanglante, qui a fait près de 7 000 morts côté américain et 18 000 côté japonais, sur l'île d'Iwo Jima, aux confins de l'archipel nippon. Clint Eastwood met l'humain au premier plan, en alternant chronique intime et scènes de combat traitées avec sobriété, dénuées de tout caractère héroïque.

"7 ans"

De Jean-Pascal Hattu (France, 1H26). Avec Valérie Donzelli, Cyril Troley, Bruno Todeschini.
Maïté est mariée à Vincent qui vient d'être condamné à sept ans de prison. Le parloir est désormais leur seul espace d'intimité. Un jour, un jeune inconnu aborde Maïté à sa sortie de la maison d'arrêt. Il devient son amant. Entre l'envie et la culpabilité, le plaisir et le devoir, Maïté se sent prise au piège d'un jeu à trois, dont personne ne connaît les règles.

"Bosta l'autobus"

De Philippe Aractingi (Liban, 1H50). Avec Rodney El Haddad, Nadine Labaki, Nada Abou Farhat.
Ce film musical en forme de road-movie raconte l'histoire d'anciens camarades de lycée qui se retrouvent après quinze ans. Ils décident de faire le tour du Liban pour faire découvrir une danse folklorique remise au goût du jour à grands renforts de rythmes techno et house. "Bosta l'autobus" est surtout l'occasion d'évoquer des thèmes sociétaux comme la tolérance entre les religions, l'homosexualité et le statut de la femme dans la société libanaise.

"Bug"

De William Friedkin (USA, 1H40. Interdit aux moins de 12 ans). Avec Ashley Judd, Harry Connick Jr, Lynn Collins, Michael Shannon.
Une serveuse de bar désespérée se lie avec un vagabond excentrique. Leur aventure va peu à peu tourner au cauchemar. Espionnés par le gouvernement grâce à un réseau de surveillance secret, ils vont avoir affaire à de mystérieux insectes capables de pénétrer le corps humain.

"La ferme en folie"

De Steve Oedekerk (USA, 1H29). Avec les voix de Laurent Gerra, Emmanuel Garijo, Claude Brosset.
Ce film familial d'animation raconte les tribulations de Otis, vache normande de son état, particulièrement dissipée. Avec ses amis Peps la souris, Freddy le furet, Bec le coq et Porc le cochon, Otis est toujours partante pour faire les 400 coups.

"Ghost Rider"

De Mark Steven Johnson (USA, 1H50. Avertissement publics sensibles). Avec Nicolas Cage, Wes Bentley, Eva Mendes.
"Ghost Rider" est le blockbuster de ce début d'année, adapté d'un personnage mythique de la galerie de super-héros Marvel (Spiderman, Daredevil, Hulk...). Pour sauver son père victime d'un accident, le cascadeur Johnny Blaze (Nicolas Cage) a vendu son âme au diable. Mais ce marché a un prix qu'il ne tarde pas à découvrir : humain la journée, il devient le "Rider" la nuit, un chasseur de primes traquant les âmes échappées de l'enfer. Lorsque Roxanne (Eva Mendes) est menacée, Johnny décide d'utiliser ses pouvoirs pour se retourner contre son Maître.

"Jewboy"

De Tony Krawitz (Australie, 0H52). Avec Ewen Leslie, Naomi Wilson, Saskia Burmeister.
Yuri Kovner, 23 ans, est le fils d'un rabbin. De retour dans le quartier juif de Sydney, à la mort de son père, il entame une quête initiatique, à la recherche de lui-même, de sa place dans la société, de sa foi.

"Jour après jour"

De Jean-Paul Fargier et avec Jean-Daniel Pollet (France, 1H10).
Un grave accident l'a cloué là, en ce point du monde : une maison au milieu d’un grand jardin. Il ne peut plus parcourir le monde : il le contemple jour après jour depuis sa maison. Il est cinéaste. Il n'a vécu que pour faire des films. Toujours un de plus, envers et contre toutes les circonstances. Il imagine faire un film avec toutes ses images fixes, se ranimant par conjonction, juxtaposition, succession.

"Juste une fois"

De Bob Goldthwait (USA, 1H29. Interdit aux moins de 12 ans). Avec Melinda Page Hamilton, Bryce Johnson, Geoff Pierson.
Une jeune femme comme les autres, entourée de parents qui l'adorent et d'un fiancé idéal jusqu'au jour de dernier insiste pour qu'ils partagent leurs plus intimes secrets... Ce sera le début de la fin.

"Nue propriété"

De Joachim Lafosse (Belgique/France/Luxembourg, 1H30). Avec Isabelle Huppert, Jérémie Renier, Yannick Renier.
Quand leur mère décide de vendre la maison familiale, Thierry et François réalisent qu'ils vont devoir vivre leur vie d'adulte. Leur relation fusionnelle va alors se transformer en guerre fratricide sous les yeux impuissants de leur mère.

"Primer"

De Shane Carruth (USA, 1H17). Avec Shane Carruth, David Sullivan, Casey Gooden.
Dans un garage de banlieue, quatre ingénieurs passent leur temps libre à travailler sur des brevets qu’ils espèrent commercialiser pour leur propre compte. Deux d'entre eux, Abe et Aaron, développent en secret une machine capable de réduire la masse des objets. Très vite, ils se sentiront dépassés par ce qui leur arrive.

"Remake"

De Roger Gual (Espagne, 1H35). Avec Juan Diego, Silvia Munt, Eusebio Poncela.
Dans les années 70, Damian et Patricia, Alex et Carol et leur ami Max, étaient jeunes et idéalistes. Trente ans après, les hippies de l'époque sont devenus des bourgeois d'aujourd'hui, leurs couples ont éclaté.
 
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