Le Petit Monde d'Audrey
 
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Pierma
On m'a dit beaucoup de bien du film des frères Cohen.

Ils ont toujours un style très particulier, qu'on aime ou pas.

Perso, j'avais beaucoup aimé Fargo, qui est pourtant passé relativement inaperçu.
jilbi
Ouaille a écrit :



Il faut trouver l'intrus dans la liste?

tsssssssss, un jour tu verras la lumiere.
Au bout d'une torche

Heretique ! (inserez ici une image d'elie semoun en repurgateur)


Edité le 31-01-2008 à 00:24:05 par jilbi


Ouaille
jilbi a écrit :

j'ai plusieurs Dieux moi, je suis pas sectaire (Horus pre-heresie, L'Empereur, La Machine, Mac Gyver, Richard Dean Anderson ( nan, spas pareil), Johnny Depp, Frank Black, John MacClane..... )


Il faut trouver l'intrus dans la liste?

Ceci dit Johnny Depp est ma foi plutot un bon acteur je ne sais pas ce que TL et Audrey lui reprochent...

jilbi
j'ai plusieurs Dieux moi, je suis pas sectaire (Horus pre-heresie, L'Empereur, La Machine, Mac Gyver, Richard Dean Anderson ( nan, spas pareil), Johnny Depp, Frank Black, John MacClane..... )
Audrey
jilbi a écrit :

Oui TL, tu pourras dire ce que tu veux sur Depp, n'empêche que c'est un Dieu ce type

...je sens que je vais devenir athée très vite, moi
ThunderLord
Passer du Dieu-Machine à un camé mégalomane, c'est bof-bof quand même
jilbi
(désolé pour le double post)

alors, j'ai vu Sweeney Todd, et vraiment, c'est bien . 2-3 longueurs, mais très beau et les acteurs sont vraiment bons.
Oui TL, tu pourras dire ce que tu veux sur Depp, n'empêche que c'est un Dieu ce type
jilbi
normalement je vais voir Sweeney Todd dimanche, je vous tiens au jus
Audrey
Sorties en salle le 23 janvier

"Sweeney Todd, le diabolique barbier de Fleet Street"

De Tim Burton (Etats-Unis, 1H55 - Interdit aux moins de douze ans - Titre original : Sweeney Todd, the demon barber of Fleet Street ). Avec Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Alan Rickman, Sacha Baron Cohen.
Adaptée d'une comédie musicale à succès de Broadway, l'effrayante histoire (tirée d'un authentique fait divers ou plus vraisemblablement, d'une légende du 18e siècle) d'un barbier londonien, injustement condamné à quinze ans de bagne en Australie par un juge corrompu et libertin qui convoitait sa belle épouse. A son retour, pétri de haine, Sweeney Todd (Johnny Depp) n'a qu'une idée : assassiner l'infâme juge (Alan Rickman) qui, non content d'avoir causé sa ruine et son déshonneur, a provoqué la mort de sa femme et adopté son enfant. Il rouvre son salon et s'acoquine avec une veuve (Helena Bonham Carter) vénale et pathétique : la folie vengeresse du barbier s'épanouit alors avec l'alliance de ces deux âmes damnées. Car Sweeney Todd se met à trancher la gorge de ses clients que sa complice transforme en viande dont elle fourre ses tartes...
Pour la sixième collaboration des deux Américains, dix-sept ans après avoir fait de Johnny Depp son "Edward aux mains d'argent", Tim Burton lui a demandé de relever un nouveau défi : chanter à l'écran. Car tous les acteurs de "Sweeney Todd" interprètent eux-mêmes et avec talent les partitions de Stephen Sondheim, l'auteur de la comédie musicale d'origine, qui date de 1979. Les chansons de "Sweeney Todd" plongent le spectateur dans l'univers très particulier du film : baroque, sanglant et dramatique, mais aussi romantique et férocement drôle, voire subversif (grâce à Todd les pauvres, cannibales à leur insu, dévorent les riches qui les oppriment).

"Non, ce pays n'est pas pour le vieil homme"

De Joel et Ethan Coen (Etats-Unis, 2H02 - Interdit aux moins de douze ans - Titre original : No country for old men ). Avec Josh Brolin, Tommy Lee Jones, Javier Bardem, Woody Harrelson.
Fidèlement adaptée du roman homonyme de l'écrivain américain Cormac Mac Carthy et efficacement mise en scène, l'histoire d'une folle cavale, cocktail détonant d'horreur et d'ironie, qui prend sur la fin une tournure nostalgique. A la frontière désertique du Texas et du Mexique, Llewelyn Moss, un looser texan très modérément futé (Josh Brolin, excellent), tombe sur des camionnettes abandonnées cernées de cadavres, et surtout sur une mallette : celle-ci contient deux millions de dollars. S'emparant du magot, il met alors le doigt dans un engrenage meurtrier. Car le propriétaire des millions est Anton Chiguh, un tueur psychopathe aux cheveux longs, qui fait sauter serrures et cervelles avec un pistolet à air comprimé relié à une bouteille de plongée. Décidé à récupérer son argent coûte que coûte, Anton traque impitoyablement Llewelyn, semant sur sa route cadavres et commentaires absurdes... En guise d'épilogue nostalgique et quasi biblique, un vieux shérif aux traits burinés incarné par Tommy Lee Jones se prend à regretter les valeurs de l'Ouest d'autrefois, comparé à un monde moderne gangrené par la violence des trafiquants de drogue.
L'un des meilleurs contes noirs, sanglants et drolatiques des frères Coen, grand oublié du palmarès au dernier Festival de Cannes. Ethan et Joel Coen ont notamment signé "Miller's crossing" (1990), "Fargo", Oscar du meilleur scénario en 1996, ou encore "O'Brother" (2000).

"Didine"

De Vincent Dietschy (France, 1H43). Avec Géraldine Pailhas, Christopher Thompson, Julie Ferrier, Edith Scob.
Trentenaire rêveuse, Alexandrine, surnommée "Didine" par son entourage, laisse avec indolence s'écouler son existence solitaire. Dessinatrice pour l'industrie textile, elle conçoit chez elle des motifs floraux maigrement rétribués, au grand dam de Muriel, sa meilleure amie (Julie Ferrier), au décolleté aussi tapageur que sa réussite professionnelle. Si nonchalante qu'elle ne donne jamais suite à ses aventures d'une nuit, Didine est toutefois un pilier pour Muriel, en pleine tourmente sentimentale avec François (Benjamin Biolay). Un jour, elle décide d'adhérer à une association qui rend visite aux personnes âgées : sa routine s'en trouvera bouleversée.
Dix ans après "Julie est amoureuse", Vincent Dietschy signe son deuxième long-métrage, une comédie légère aux fausses allures de bluette. Géraldine Pailhas donne au portrait de cette jeune fille ordinaire une finesse d'aquarelle, mais le débutant Benjamin Biolay, talentueux chanteur de pop, arbore d'imperturbables airs de chien mouillé pour sa première apparition dans un long-métrage. Au final, la minceur du scénario et la banalité des situations finissent par crever l'écran.

"Frontière(s)"

De Xavier Gens (France, 1H48 - Interdit aux moins de seize ans). Avec Samuel Le Bihan, Karina Testa, Aurélien Wiik.
L'extrême droite est sur le point d'arriver au pouvoir. De jeunes banlieusards qui viennent de commettre un braquage, sont poursuivis par la police. Des membres de la bande dépassent la "frontière" de leur propre violence. Ils s'enfuient en voiture et débarquent dans une auberge perdue en pleine forêt, à la limite du Luxembourg.
Le premier long-métrage d'un réalisateur de 32 ans fasciné par les films d'horreur.

"57 000 km entre nous"

De Delphine Kreuter (France, 1H22). Avec Florence Thomassin, Pascal Bongard, Marie Burgun.
Un adolescent gravement malade et hospitalisé, couvé par une mère angoissée, une adolescente solitaire dont le père, travesti, vit avec un homme, et élevée par un couple exhibitionniste... Les membres de cette famille éclatée et dysfonctionnelle ont tous un penchant pour internet.
Le premier film, expérimental, d'une photographe.

"Day watch"

De Timur Bekmambetov (Etats-Unis, 2H05). Avec Konstantin Khabenski, Maria Porochina.
L'affrontement entre les guerriers de l'ombre et de la lumière se poursuit : Anton cherche à prendre son destin en main alors que son fils, lui, est devenu un puissant "Night Watch".
Le second volet d'une trilogie fantastique russe adaptée des romans de Sergei Lukyanenko, inaugurée en 2004 par "Night Watch" et qui se clôturera avec "Dusk Watch".

"Live !"

De Bill Guttentag (Etats-Unis, 1H36). Avec Eva Mendes, David Krumholtz, Rob Brown.
Une productrice de programmes télévisés aux dents longues imagine une émission de télé réalité où les candidats mettront leur vie en jeu à la roulette russe pour gagner cinq millions de dollars.
Le premier long métrage de fiction du réalisateur Bill Guttentag, récompensé pour ses documentaires "Death on the Job" (1991), "Blues Highway" (1994) et "Twin Towers" (2003).

"Où avais-je la tête ?"

De Nathalie Donnini (France, 1H25). Avec Hippolyte Girardot, Judith Remy, Jean-Pierre Cassel, Marc Citti.
Un banquier d'affaires à la vie réglée comme du papier à musique rencontre une jeune femme désorganisée aux oublis chroniques.
Un premier film qui brode sur la rencontre entre deux êtres totalement désassortis.

"Le roi et le clown"

De Lee Jun-ik (Corée du sud, 1H59 - Titre original : King and the clown ). Avec Karm Woo-sung, Jung Jin-young, Lee Joon-gi.
Au XVIe siècle, en Corée un comédien des rues se voit obligé d'obéir au souverain qui a daigné rire devant son spectacle. Il y perdra son amour.
Une fable tragique sur la liberté.

"Train de nuit"

De Diao Yi Nan (Chine, 1H34). Avec Liu Dan, Qi Dao, Xu Wei, Wu Yuxi.
Une femme huissier de justice, responsable de prisonnières condamnées à la peine de mort, le plus souvent pour crime passionnel, tombe amoureuse du mari de l'une d'entre elles.
 
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