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Audrey a écrit :
Le cas célèbre dans l'Histoire de Kaspar Hauser, un enfant enfermé entre les âges de dix et dix-sept ans et qu'on retrouva en 1828 en Allemagne alors qu'il ne savait pas parler. |
... voir le sujet dans "Le Grenier de Cronos" > "Evénements & Personnalités"
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| | Il est clair que, de mon côté également, l'éducation qu'il a donné à sa victime est en contradiction avec la définition du spécialiste.
Une personne parvient effectivement à ses fins, dans la réalité, lorsqu'il s'agit d'en dégrader une autre, en la rabaissant quotidiennent et en la coupant du monde, ... et en le lui laissant pas la possibilité de comparaison avec ce qui se passe à l'extérieur, en lui coupant toute possibilité de progresser, de s'informer, de dialoguer .
Si, dans le cas présent, la coupure avec l'extérieur était bien présente, le fait d'éduquer sa victime, par contre, va dans le sens opposé, puisqu'il "lui crée ainsi une possibilité de réflexion ...donc de fuite".
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| | Audrey a écrit :
Le psychiatre criminologue Thomas Müller dresse, dans le journal Die Presse , le profil d'un "sadique extrême, pour qui il s'agit de dégrader la personne dont il fait sa chose, et non pas de la torturer".
Ces personnalités obsessionnelles, introverties, qui peuvent sembler aimables de l'extérieur, "ne supportent aucune résistance", selon M. Müller. |
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| | (AFP - 25/08/06)
Selon les derniers éléments de l'enquête, la jeune fille était, la plupart du temps, enfermée dans une pièce insonorisée.
Quant au kidnappeur, les experts psychiatres penchent a priori pour la thèse d'un homme discret animé par une volonté de domination.
Ainsi si des abus sexuels contre la fillette, enlevée à l'âge de dix ans sur le chemin de l'école, restaient encore incertains, il est en revanche sûr que Priklopil a éduqué sa victime.
Sabine Freudenberger, une jeune policière, qui a recueilli le premier témoignage de Natascha Kampusch après son évasion, s'est émerveillée "de sa haute intelligence, de son vocabulaire".
Son ravisseur lui faisait faire des tâches ménagères, "il l'avait éduquée", lui donnait beaucoup de livres, lui laissait aussi écouter la radio et regarder la télévision. Elle avait droit à une "très bonne hygiène", toujours d'après Mlle Freudenberger.
Mais Priklopil l'obligeait au début à lui dire "maître" quand elle s'adressait à lui.
Le psychiatre criminologue Thomas Müller dresse, dans le journal Die Presse , le profil d'un "sadique extrême, pour qui il s'agit de dégrader la personne dont il fait sa chose, et non pas de la torturer".
Ces personnalités obsessionnelles, introverties, qui peuvent sembler aimables de l'extérieur, "ne supportent aucune résistance", selon M. Müller.
Son collègue Ernst Berger, dans le Standard, estime que Natascha a eu "de la chance dans son malheur" si on la compare au cas célèbre dans l'Histoire de Kaspar Hauser, un enfant enfermé entre les âges de dix et dix-sept ans et qu'on retrouva en 1828 en Allemagne alors qu'il ne savait pas parler. |
| | Ne plus être seul ? Remplacer une enfant décédée, ou espérée et non eue ? Ou tout simplement, sur un coup de tête, tenter le kidnapping et ne plus savoir comment résoudre le problème ensuite ?
Les hypothèses sont nombreuses... et le kidnappeur s'étant suicidé, ça m'étonnerait que la question trouve réponse.
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| | La question est surtout "quel était l'objectif du ravisseur?"...
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| | C'est certain. ça ne va pas être simple de "supporter" la présence des autres pour cette jeune fille. En 8 ans, elle a largement eu le temps de s'habituer à ne faire "qu'entendre" les autres (via la radio apparemment)... mais ça n'a rien à voir avec "côtoyer" les autres....
Va lui falloir un très long temps d'adaptation, à mon avis...
Espérons pour elle que les rapaces de journalistes ne viendront pas se planter au milieu pour perturber sa réadaptation...
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| | 8 ans de séquestration... J'en connais une qui doit être en proie à une bonne crise d'agoraphobie en ce moment.
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| | Donc, cela provenait de la balise isolée (au niveau de la légende la photo)... ah, ces balises !! 
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| | Voui, là c'est mieux, a pu bug 
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