| Dernières réponses | |  Tout à fait d'accord avec toi, Constance. D'autant que nous étions sensés en avoir terminé avec l'exploitation des mines de charbon depuis un bon moment déjà....
Maintenant, est-ce une façon, pour le département de la Nièvre, de lutter contre le chômage en créant des emplois grâce à cette exploitation ??
Il y aurait certainement d'autres domaines où créer des emplois, je pense. Tout comme je pense que l'Etat pousse les régions et départements à trouver des solutions à la hausse du prix du pétrole... mais de là à relancer l'exploitation minière fermée à grands renforts de suppressions d'emplois il y a quelques années...
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| | Et après les gens vont se plaindre de la pollution de l'air 
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| | (AFP -12/08/06)
Projet d'exploitation d'une nouvelle mine de charbon dans la Nièvre
Une mine de charbon pour l'exploitation d'un filon estimé à 250 millions de tonnes de minerai devrait ouvrir d'ici 5 ans dans la Nièvre accompagnée d'une centrale thermique de production d'énergie électrique, annonce le quotidien le Journal du Centre dans son édition de samedi.
Lorsqu'elle sera opérationnelle, cette installation industrielle produira 1 000 megawatt d'électricité par an, en utilisant 2 millions de tonnes de charbon. L'électricité produite sera transportée par le Réseau de Transport d'Electricité (RTE).
Selon le quotidien régional, quelque 1 000 personnes devraient être employées pour construire les installations, et il est prévu 400 emplois pour la mise en exploitation de la mine et de la centrale.
"C'est en France le premier projet relançant l'exploitation charbonnière au XXIè siècle", s'est réjoui le député de la Nièvre et premier vice-président du conseil régional de Bourgogne, Christian Paul, dans un communiqué.
C'est "l'investissement industriel le plus important proposé pour cette décennie en Bourgogne", s'est également félicité Christian Paul.
Le projet a été déposé fin juillet au ministère de l'Industrie par la Société d'exploitation des ressources énergétiques du Nivernais (Seren) pour "obtenir la concession minière de houille sur le gisement de Lucenay-lès-Aix/Cossaye pour une durée de 50 ans". La décision finale d'autorisation ne devrait pas intervenir avant plusieurs mois.
Ce gisement a été découvert et exploré par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) dans le cadre de l'inventaire des ressources nationales de charbon à l'aube des années 80. Elle s'étend sur une superficie de 6 kilomères carrés et recèle 250 millions de tonnes de charbon. |
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